Désormais, l’Olympique Club de Khouribga n’arrive toujours pas à se dégager de cette tracassante 15ème place au classement général qui hantise joueurs et supporters et également le président Youssef Jajili même dans son sommeil, comme il l’avait déclaré avec amertume à une radio de presse sportive.
Pire, le départ inopiné et outrageant du staff technique portugais alors qu’on ressentait un quelconque sursaut technique du groupe a cruellement secoué tous les rouages du club khouribgui.
Et encore une fois, on ne trouva que le toujours fidèle à son club Abdessamad Ouerrad, lui que le coach Ricardo et son staff portugais avaient rabaissé à un énième degré.
Le club phosphatier venait de rater le coche à domicile face au MAS et donc de rater l’opportunité des trois points combien précieux d’une victoire qu’il ne devait en aucun cas rater vu sa position de relégable au classement général.
Et contrairement aux protestations que les dirigeants de l’OCK manifestèrent contre l’arbitrage de Mohamed Ballout, devant la RSB aux 8èmes de finale de la Coupe du Trône, l’arbitrage devant les Fassis était incontestable.
Et ironie du sort et pour le compte de cette 22ème journée de la Botola Pro1 Inwi, Abdessamad Ouerrad et ses hommes devaient retrouver leurs tombeurs de coupe, notamment Amine El Karma et ses hommes.
Le coup d’envoi fut donné et un défenseur khouribgui remit la balle au gardien qui au lieu de botter le ballon, il le saisit.
Guezzaz n’hésita à siffler une balle arrêtée dans le carré Ferni.
Le Congolais Muzungu Chadrack s’en occupa pour ouvrir le score à la 1ère minute de jeu.
Autre handicap pour l’OCK, il fut réduit à dix quand Kabelo écopa d’un carton rouge dès la 4ème minute de jeu pour jeu dangereux sur un joueur berkanais après visionnement de la séquence sur la VAR.
Et au cours du jeu, on constata un inexplicable repli des Berkanais, repli que les Khouribguis en profitèrent pour les acculer en défense et se montrèrent encore plus menaçants.
Ce pressing donna ses fruits à la 42ème quand l’attaquant khouribgui Ismail Harrache réussit à pénétrer dans le carré de Dayo pour foudroyer les filets de Hamza Hamiani.
Les oranges se ressaisirent et remontèrent en attaque et un but de la tête de Cherki El Bahri fut refusé par la VAR à la grande déception d’Amine El Karma, le coach de la RSB.
Au retour de la pause, les visiteurs se montrèrent plus entreprenants et le jeu n’en fut que plus serré.
Des changements furent opérés par les deux coachs dont la rentrée d’Abdelkrim Baadi et Najb Mouatani qui apportèrent plus d’animation dans les deux camps, mais faut-il le rappeler, la réduction à dix des locaux ne se fit ressentir à aucun moment, bien au contraire, ils réussirent même à imposer leur jeu et même à se montrer plus menaçants à plusieurs reprises.
Et en toute objectivité, les hommes d’Ouerrad méritaient mieux devant des Berkanais qui étaient vraiment prenables.
Dommage donc pour les Khouribguis qui ratèrent encore une fois le coche en ne glanant à domicile que deux points sur six.
Le prochain déplacement aura lieu à Tanger où ils seront confrontés à un IRT qui venait de réaliser une précieuse victoire sur le MAS à Fès et donc qui se retrouve à 3 points de l’OCK : un sommet au bas du tableau !
Pire, le départ inopiné et outrageant du staff technique portugais alors qu’on ressentait un quelconque sursaut technique du groupe a cruellement secoué tous les rouages du club khouribgui.
Et encore une fois, on ne trouva que le toujours fidèle à son club Abdessamad Ouerrad, lui que le coach Ricardo et son staff portugais avaient rabaissé à un énième degré.
Le club phosphatier venait de rater le coche à domicile face au MAS et donc de rater l’opportunité des trois points combien précieux d’une victoire qu’il ne devait en aucun cas rater vu sa position de relégable au classement général.
Et contrairement aux protestations que les dirigeants de l’OCK manifestèrent contre l’arbitrage de Mohamed Ballout, devant la RSB aux 8èmes de finale de la Coupe du Trône, l’arbitrage devant les Fassis était incontestable.
Et ironie du sort et pour le compte de cette 22ème journée de la Botola Pro1 Inwi, Abdessamad Ouerrad et ses hommes devaient retrouver leurs tombeurs de coupe, notamment Amine El Karma et ses hommes.
Le coup d’envoi fut donné et un défenseur khouribgui remit la balle au gardien qui au lieu de botter le ballon, il le saisit.
Guezzaz n’hésita à siffler une balle arrêtée dans le carré Ferni.
Le Congolais Muzungu Chadrack s’en occupa pour ouvrir le score à la 1ère minute de jeu.
Autre handicap pour l’OCK, il fut réduit à dix quand Kabelo écopa d’un carton rouge dès la 4ème minute de jeu pour jeu dangereux sur un joueur berkanais après visionnement de la séquence sur la VAR.
Et au cours du jeu, on constata un inexplicable repli des Berkanais, repli que les Khouribguis en profitèrent pour les acculer en défense et se montrèrent encore plus menaçants.
Ce pressing donna ses fruits à la 42ème quand l’attaquant khouribgui Ismail Harrache réussit à pénétrer dans le carré de Dayo pour foudroyer les filets de Hamza Hamiani.
Les oranges se ressaisirent et remontèrent en attaque et un but de la tête de Cherki El Bahri fut refusé par la VAR à la grande déception d’Amine El Karma, le coach de la RSB.
Au retour de la pause, les visiteurs se montrèrent plus entreprenants et le jeu n’en fut que plus serré.
Des changements furent opérés par les deux coachs dont la rentrée d’Abdelkrim Baadi et Najb Mouatani qui apportèrent plus d’animation dans les deux camps, mais faut-il le rappeler, la réduction à dix des locaux ne se fit ressentir à aucun moment, bien au contraire, ils réussirent même à imposer leur jeu et même à se montrer plus menaçants à plusieurs reprises.
Et en toute objectivité, les hommes d’Ouerrad méritaient mieux devant des Berkanais qui étaient vraiment prenables.
Dommage donc pour les Khouribguis qui ratèrent encore une fois le coche en ne glanant à domicile que deux points sur six.
Le prochain déplacement aura lieu à Tanger où ils seront confrontés à un IRT qui venait de réaliser une précieuse victoire sur le MAS à Fès et donc qui se retrouve à 3 points de l’OCK : un sommet au bas du tableau !
