Le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, a affirmé lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants que le gouvernement a adopté une approche "flexible" dans le traitement des déductions sur les salaires des enseignants grévistes.
Dans son intervention, Benmoussa a souligné que la constitution garantit le droit de grève, mais que la loi affirme également le principe du salaire en contrepartie du travail, une pratique en vigueur pendant les gouvernements précédents.
Le ministre a insisté sur le fait que l'objectif des déductions salariales est de ramener les enseignants en classe. Il a rappelé que le gouvernement a engagé un dialogue social "sérieux" et "responsable" avec le personnel éducatif pour résoudre les problèmes de manière constructive.
Benmoussa a précisé que le gouvernement a adopté une approche flexible envers les déductions. Il a noté qu'en décembre, les déductions n'ont pas été appliquées aux enseignants qui sont retournés en classe après les vacances de mi-semestre. De plus, les enseignants auront l'opportunité de participer au soutien éducatif et de bénéficier d'une rémunération pour les heures supplémentaires.
En réponse aux questions des députés, le ministre a réaffirmé que la priorité est de garantir le bon déroulement des études, ce qui a conduit le ministère à prendre des mesures de gestion contre toute personne perturbant les services éducatifs publics et entravant le droit des élèves à l'éducation.
Benmoussa a également souligné les avancées dans les conditions matérielles des enseignants grâce à un dialogue sectoriel responsable. Il a noté que le salaire mensuel d'un enseignant du primaire a augmenté, passant d'environ 5.100 dirhams à 6.100 dirhams, et atteindra 15.000 dirhams en fin de carrière, comparé à 10.600 dirhams auparavant, soulignant les efforts financiers significatifs pour maintenir la paix sociale dans le secteur.
Dans son intervention, Benmoussa a souligné que la constitution garantit le droit de grève, mais que la loi affirme également le principe du salaire en contrepartie du travail, une pratique en vigueur pendant les gouvernements précédents.
Le ministre a insisté sur le fait que l'objectif des déductions salariales est de ramener les enseignants en classe. Il a rappelé que le gouvernement a engagé un dialogue social "sérieux" et "responsable" avec le personnel éducatif pour résoudre les problèmes de manière constructive.
Benmoussa a précisé que le gouvernement a adopté une approche flexible envers les déductions. Il a noté qu'en décembre, les déductions n'ont pas été appliquées aux enseignants qui sont retournés en classe après les vacances de mi-semestre. De plus, les enseignants auront l'opportunité de participer au soutien éducatif et de bénéficier d'une rémunération pour les heures supplémentaires.
En réponse aux questions des députés, le ministre a réaffirmé que la priorité est de garantir le bon déroulement des études, ce qui a conduit le ministère à prendre des mesures de gestion contre toute personne perturbant les services éducatifs publics et entravant le droit des élèves à l'éducation.
Benmoussa a également souligné les avancées dans les conditions matérielles des enseignants grâce à un dialogue sectoriel responsable. Il a noté que le salaire mensuel d'un enseignant du primaire a augmenté, passant d'environ 5.100 dirhams à 6.100 dirhams, et atteindra 15.000 dirhams en fin de carrière, comparé à 10.600 dirhams auparavant, soulignant les efforts financiers significatifs pour maintenir la paix sociale dans le secteur.
