Organisé par le gouvernement azerbaïdjanais, en partenariat avec l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), l’Alliance des civilisations des Nations Unies, l’Organisation mondiale du tourisme et l’Organisation du monde islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ICESCO), cet événement, qui a débuté mercredi, est une occasion de débattre sur les enjeux de la paix et la sécurité, sur fond d’exacerbation des conflits géopolitiques.
Dans ce sens, Samir Addahre, Ambassadeur et Délégué permanent du Royaume du Maroc auprès de l'UNESCO, qui participait à l’événement a indiqué que « l’industrie culturelle créative est un outil pour la diplomatie et la promotion de la coopération internationale », ajoutant que les échanges culturels, les festivals internationaux et les collaborations artistiques renforcent les liens entre les pays, favorisent la compréhension interculturelle et contribuent à la promotion de la paix.
La culture et les industries culturelles et créatives sont non seulement des outils de gestion et de communication de l'identité d'un pays, ou d'une région, selon l’ambassadeur, mais aussi deviennent une puissante locomotive pour les stratégies de développement des économies et méritent d’être placées au premier plan de l’économie par la mise en œuvre politiques publiques concrètes qui puissent assurer le positionnement de ce secteur comme pilier du développement et de l’avenir des générations.
Tout en insistant sur le rôle crucial que joue la culture dans la croissance économique et du développement durable et inclusif, Addahre qui intervenait dans le cadre d’un panel sous le thème « L’importance de la culture et des industries créatives pour assurer les tendances modernes du développement et la diversification économique », souligne que son impact reste encore « sous-estimé » dans des milieux où la science, les technologies influentes, et le progrès de l’Intelligence Artificielle génératives sont particulièrement valorisés.
Préservation de la diversité.
L’ambassadeur marocain a également insisté sur le rôle de la diversité culturelle dans le développement durable des pays. « La diversité culturelle est de plus en plus présente dans notre quotidien, où différentes langues, croyances, traditions et modes de vie cohabitent et consacrent davantage l’importance des valeurs humaines universelles de coexistence, de tolérance et du vivre-ensemble », a noté Samir Addahre, qui intervenait dans un autre panel dédié à la préservation de la diversité.
A cet égard, il a mis l’accent sur la nécessité de préserver et valoriser cette diversité en tant que richesse inestimable, et d’en tirer profit, au regard, notamment, des enjeux qui l’entourent et des défis croissants qui pourraient la menacer. Afin de relever ces défis, l’ambassadeur du Royaume plaide en faveur de « la coopération internationale, d’une part, entre les Etats et les institutions compétentes, et d’autre part par le biais des instruments juridiques internationaux et des mécanismes appropriés ».
Après avoir cité les différents accords bilatéraux et multilatéraux ainsi que les cadres internationaux, ratifiés dans ce sens, Addahre a mis en exergue l’impératif des programmes de partage des connaissances et de renforcement des capacités sont, également, des outils indispensables pour renforcer les capacités des communautés locales et autochtones à protéger leur patrimoine culturel.
Un engagement accru dans le financement des initiatives culturelles, par le biais de l'aide publique au développement, de la philanthropie et de mécanismes innovants, est également essentiel selon le même intervenant, pour garantir la durabilité des expressions culturelles diverses.
Dans ce sens, Samir Addahre, Ambassadeur et Délégué permanent du Royaume du Maroc auprès de l'UNESCO, qui participait à l’événement a indiqué que « l’industrie culturelle créative est un outil pour la diplomatie et la promotion de la coopération internationale », ajoutant que les échanges culturels, les festivals internationaux et les collaborations artistiques renforcent les liens entre les pays, favorisent la compréhension interculturelle et contribuent à la promotion de la paix.
La culture et les industries culturelles et créatives sont non seulement des outils de gestion et de communication de l'identité d'un pays, ou d'une région, selon l’ambassadeur, mais aussi deviennent une puissante locomotive pour les stratégies de développement des économies et méritent d’être placées au premier plan de l’économie par la mise en œuvre politiques publiques concrètes qui puissent assurer le positionnement de ce secteur comme pilier du développement et de l’avenir des générations.
Tout en insistant sur le rôle crucial que joue la culture dans la croissance économique et du développement durable et inclusif, Addahre qui intervenait dans le cadre d’un panel sous le thème « L’importance de la culture et des industries créatives pour assurer les tendances modernes du développement et la diversification économique », souligne que son impact reste encore « sous-estimé » dans des milieux où la science, les technologies influentes, et le progrès de l’Intelligence Artificielle génératives sont particulièrement valorisés.
Préservation de la diversité.
L’ambassadeur marocain a également insisté sur le rôle de la diversité culturelle dans le développement durable des pays. « La diversité culturelle est de plus en plus présente dans notre quotidien, où différentes langues, croyances, traditions et modes de vie cohabitent et consacrent davantage l’importance des valeurs humaines universelles de coexistence, de tolérance et du vivre-ensemble », a noté Samir Addahre, qui intervenait dans un autre panel dédié à la préservation de la diversité.
A cet égard, il a mis l’accent sur la nécessité de préserver et valoriser cette diversité en tant que richesse inestimable, et d’en tirer profit, au regard, notamment, des enjeux qui l’entourent et des défis croissants qui pourraient la menacer. Afin de relever ces défis, l’ambassadeur du Royaume plaide en faveur de « la coopération internationale, d’une part, entre les Etats et les institutions compétentes, et d’autre part par le biais des instruments juridiques internationaux et des mécanismes appropriés ».
Après avoir cité les différents accords bilatéraux et multilatéraux ainsi que les cadres internationaux, ratifiés dans ce sens, Addahre a mis en exergue l’impératif des programmes de partage des connaissances et de renforcement des capacités sont, également, des outils indispensables pour renforcer les capacités des communautés locales et autochtones à protéger leur patrimoine culturel.
Un engagement accru dans le financement des initiatives culturelles, par le biais de l'aide publique au développement, de la philanthropie et de mécanismes innovants, est également essentiel selon le même intervenant, pour garantir la durabilité des expressions culturelles diverses.