Dans un contexte où l’avocat trouve sa place parmi les produits essentiels dans le panier des ménages, le Maroc cherche à bien approvisionner le marché pour répondre à un besoin de plus en plus croissant.
En effet, si le Maroc était, fin 2022, le neuvième exportateur mondial d'avocats, ses importations de ce fruit au cours de l'année 2023 ont été les plus importantes en termes de volume rapport aux huit dernières années, selon un rapport de « East Fruit », spécialisé dans le marché des fruits et légumes.
Si le Royaume importait 4.000 tonnes d'avocats auparavant, le volume de ses importations de ce fruit a plus que triplé pour atteindre 13.000 tonnes en 2023, soit une valeur de 8,5 millions de dollars.
« Le Pérou, deuxième exportateur mondial d'avocats, est le principal fournisseur du Maroc, représentant 78 % du volume total des importations », détaille « East Fruit ».
Ce chiffre record intervient dans un contexte où la production d’avocat a augmenté
de 40%, pour atteindre un record de 60.000 tonnes en 2023. Ce rendement positif est le résultat, selon les producteurs, de l’entrée en production de verges plantées lors des trois dernières années et de l’amélioration des pratiques culturales.
En plus, l’avocat n’a pas été, semble t-il, fortement impacté par le stress hydrique, du fait que cette culture fruitière est concentrée dans les régions du Gharb et du Loukkos qui disposent d’énormes réserves d’eau souterraine.
Le niveau de production ou encore la qualité du produit ouvrent aux producteurs de l’avocat de nouveaux horizons de commercialisation, leur permettant de lorgner de nouveaux marchés, à l’instar des pays scandinaves. La campagne d’exportation de l’avocat a commencé à la mi-novembre, en particulier pour la variété « Hass », qui représentait 95% des exportations d’avocat au cours de l'année écoulée.
Pour rappel, les exportations d'avocats du Maroc ont augmenté de façon spectaculaire, dépassant les 23.000 tonnes au cours des neuf premiers mois de 2023, malgré le déficit hydrique. Une problématique à laquelle les acteurs du secteur cherchent à remédier par l’adoption des technologies modernes d'économie d'eau, telles que l'irrigation souterraine au goutte-à-goutte et le recyclage de l'eau. Question de permettre au Maroc de générer un revenu stable grâce à l'exportation d'avocats, tout en levant la pression sur les ressources hydriques.
En effet, si le Maroc était, fin 2022, le neuvième exportateur mondial d'avocats, ses importations de ce fruit au cours de l'année 2023 ont été les plus importantes en termes de volume rapport aux huit dernières années, selon un rapport de « East Fruit », spécialisé dans le marché des fruits et légumes.
Si le Royaume importait 4.000 tonnes d'avocats auparavant, le volume de ses importations de ce fruit a plus que triplé pour atteindre 13.000 tonnes en 2023, soit une valeur de 8,5 millions de dollars.
« Le Pérou, deuxième exportateur mondial d'avocats, est le principal fournisseur du Maroc, représentant 78 % du volume total des importations », détaille « East Fruit ».
Ce chiffre record intervient dans un contexte où la production d’avocat a augmenté
de 40%, pour atteindre un record de 60.000 tonnes en 2023. Ce rendement positif est le résultat, selon les producteurs, de l’entrée en production de verges plantées lors des trois dernières années et de l’amélioration des pratiques culturales.
En plus, l’avocat n’a pas été, semble t-il, fortement impacté par le stress hydrique, du fait que cette culture fruitière est concentrée dans les régions du Gharb et du Loukkos qui disposent d’énormes réserves d’eau souterraine.
Le niveau de production ou encore la qualité du produit ouvrent aux producteurs de l’avocat de nouveaux horizons de commercialisation, leur permettant de lorgner de nouveaux marchés, à l’instar des pays scandinaves. La campagne d’exportation de l’avocat a commencé à la mi-novembre, en particulier pour la variété « Hass », qui représentait 95% des exportations d’avocat au cours de l'année écoulée.
Pour rappel, les exportations d'avocats du Maroc ont augmenté de façon spectaculaire, dépassant les 23.000 tonnes au cours des neuf premiers mois de 2023, malgré le déficit hydrique. Une problématique à laquelle les acteurs du secteur cherchent à remédier par l’adoption des technologies modernes d'économie d'eau, telles que l'irrigation souterraine au goutte-à-goutte et le recyclage de l'eau. Question de permettre au Maroc de générer un revenu stable grâce à l'exportation d'avocats, tout en levant la pression sur les ressources hydriques.