Dans son intervention, le ministre a rappelé que la première phase du projet, finalisée en octobre 2023, a permis le transfert d’environ 700 millions de m³ d’eau jusqu’à ce jour.
Ce volume transféré a été de nature d'assurer l'approvisionnement ininterrompu en eau potable, notamment dans la région du Grand Casablanca, en évitant des coupures qui auraient affecté une population estimée à plus de 11 millions d’habitants.
Ce projet a pleinement rempli son objectif initial, selon Nizar Baraka, qui a insisté sur la plus value de cette infrastructure dans un contexte de stress hydrique d'une ampleur inédite.
La première phase a notamment permis l’interconnexion entre les bassins excédentaires du nord et les zones déficitaires du centre, en régulant les flux grâce à un système de canalisations de grande capacité et de stations de pompage à haute technologie.
Le ministre a ensuite détaillé les deux prochaines phases du projet, qui s’inscrivent dans une stratégie à moyen et long terme de consolidation de la souveraineté hydrique nationale.
La deuxième phase, qui vise à porter le volume transféré à 800 millions de m³ par an, s’inscrit dans le cadre d’un accord d’investissement structurant signé récemment avec les Émirats arabes unis, impliquant les groupes Taqa, Nareva et le Fonds Mohammed VI pour l’investissement.
La troisième phase, quant à elle, dépendra de l’achèvement des nouveaux barrages prévus dans le Nord du pays. Une fois ceux-ci opérationnels, les autorités prévoient de porter la capacité annuelle de transfert à 1,2 milliard de m³.
Ce volume transféré a été de nature d'assurer l'approvisionnement ininterrompu en eau potable, notamment dans la région du Grand Casablanca, en évitant des coupures qui auraient affecté une population estimée à plus de 11 millions d’habitants.
Ce projet a pleinement rempli son objectif initial, selon Nizar Baraka, qui a insisté sur la plus value de cette infrastructure dans un contexte de stress hydrique d'une ampleur inédite.
La première phase a notamment permis l’interconnexion entre les bassins excédentaires du nord et les zones déficitaires du centre, en régulant les flux grâce à un système de canalisations de grande capacité et de stations de pompage à haute technologie.
Le ministre a ensuite détaillé les deux prochaines phases du projet, qui s’inscrivent dans une stratégie à moyen et long terme de consolidation de la souveraineté hydrique nationale.
La deuxième phase, qui vise à porter le volume transféré à 800 millions de m³ par an, s’inscrit dans le cadre d’un accord d’investissement structurant signé récemment avec les Émirats arabes unis, impliquant les groupes Taqa, Nareva et le Fonds Mohammed VI pour l’investissement.
La troisième phase, quant à elle, dépendra de l’achèvement des nouveaux barrages prévus dans le Nord du pays. Une fois ceux-ci opérationnels, les autorités prévoient de porter la capacité annuelle de transfert à 1,2 milliard de m³.