Les Rencontres des Arts de la Scène en Méditerranée quittent Montpellier pour la première fois et jettent l’ancre à Casablanca du 30 novembre au 4 décembre, sur une idée de la chorégraphe marocaine et fondatrice de l’association ARD2D Meryem Jazouli. Imaginées comme un temps de partage de créations et d’idées, les Rencontres des Arts de la Scène en Méditerranée -organisées depuis 2018 par le théâtre des 13 vents, Centre dramatique national de Montpellier- rassemblent chaque mois de novembre, artistes et acteurs de la culture du pourtour méditerranéen autour des arts vivants et des écritures contemporaines. Pendant plusieurs jours, des questions artistiques et politiques sont discutées entre artistes tandis que des oeuvres de théâtre, danse, musique, cirque, sont partagées avec le public.
« Dérive Casablancaise », 1ère étape extramuros, est née de l’envie de donner écho à l’esprit des Rencontres et de la Biennale, de réfléchir à la création en Méditerranée à partir de Casablanca, de réunir des énergies autour des arts vivants et de questionner les écritures contemporaines à la lumière des changements induits par les crises que le monde traverse.
Cette édition casablancaise s’inscrit dans une volonté de marquer une étape importante dans la vie culturelle casablancaise : construire un pont entre la métropole et d’autres villes du bassin méditerranéen, réunir une communauté d’artistes, d’acteurs culturels et de penseurs sensibles à la question de la place de l’artiste dans la cité et de son rôle lorsqu’il s’agit de repenser le politique en faveur de la créativité, de la culture en général et des arts de la scène en particulier.
« Dérive Casablancaise », 1ère étape extramuros, est née de l’envie de donner écho à l’esprit des Rencontres et de la Biennale, de réfléchir à la création en Méditerranée à partir de Casablanca, de réunir des énergies autour des arts vivants et de questionner les écritures contemporaines à la lumière des changements induits par les crises que le monde traverse.
Cette édition casablancaise s’inscrit dans une volonté de marquer une étape importante dans la vie culturelle casablancaise : construire un pont entre la métropole et d’autres villes du bassin méditerranéen, réunir une communauté d’artistes, d’acteurs culturels et de penseurs sensibles à la question de la place de l’artiste dans la cité et de son rôle lorsqu’il s’agit de repenser le politique en faveur de la créativité, de la culture en général et des arts de la scène en particulier.