À cette occasion, le groupe a réaffirmé son attachement à la défense de la justice sociale et spatiale ainsi qu’à la construction d’un modèle de développement équitable plaçant le citoyen au cœur des politiques publiques.
Dans son intervention, le président du groupe, Allal Amraoui, a appelé à « stopper un ensemble de pratiques » incompatibles avec la bonne gouvernance, affirmant qu’« il n’y a pas de place pour les corrompus en politique", a-t-il martelé.
Le député a dénoncé ce qu'il appelle « le commerce des consciences » et l’« usage excessif de l’argent », estimant que la prochaine échéance électorale constitue une occasion historique pour restaurer la confiance des citoyens dans la politique et les institutions.
Amraoui a invité les responsables politiques à faire preuve de franchise et d’autocritique, soulignant que « le pari d’aujourd’hui n’est pas seulement d’organiser des élections législatives, mais d’en faire un véritable mécanisme de production de la légitimité, de renouvellement des élites et de renforcement de l’État de droit et des institutions ».
En tant que composante de la majorité gouvernementale, le groupe istiqlalien a salué le PLF 2026 pour sa capacité à répondre aux défis posés par un contexte international incertain, tout en poursuivant la mise en œuvre du programme gouvernemental.
Selon Amraoui, cette dynamique s’appuie sur la diversification progressive des moteurs de croissance, le repositionnement du Maroc dans les chaînes de production mondiales et la modernisation des secteurs productifs traditionnels, contribuant à la consolidation d’une économie « moderne, inclusive et compétitive ».
Le député a rappelé que le Maroc a enregistré une baisse notable du taux de pauvreté multidimensionnelle, passé de 11,9 % en 2014 à 6,8 % en 2024, et que le Royaume a intégré la catégorie des pays à haut développement humain.
Il a néanmoins souligné que le monde rural reste vulnérable, appelant à des politiques publiques capables de produire un impact réel sur l’ensemble des citoyens, dans la justice et l’équité.
Dans son intervention, le président du groupe, Allal Amraoui, a appelé à « stopper un ensemble de pratiques » incompatibles avec la bonne gouvernance, affirmant qu’« il n’y a pas de place pour les corrompus en politique", a-t-il martelé.
Le député a dénoncé ce qu'il appelle « le commerce des consciences » et l’« usage excessif de l’argent », estimant que la prochaine échéance électorale constitue une occasion historique pour restaurer la confiance des citoyens dans la politique et les institutions.
Amraoui a invité les responsables politiques à faire preuve de franchise et d’autocritique, soulignant que « le pari d’aujourd’hui n’est pas seulement d’organiser des élections législatives, mais d’en faire un véritable mécanisme de production de la légitimité, de renouvellement des élites et de renforcement de l’État de droit et des institutions ».
En tant que composante de la majorité gouvernementale, le groupe istiqlalien a salué le PLF 2026 pour sa capacité à répondre aux défis posés par un contexte international incertain, tout en poursuivant la mise en œuvre du programme gouvernemental.
Selon Amraoui, cette dynamique s’appuie sur la diversification progressive des moteurs de croissance, le repositionnement du Maroc dans les chaînes de production mondiales et la modernisation des secteurs productifs traditionnels, contribuant à la consolidation d’une économie « moderne, inclusive et compétitive ».
Le député a rappelé que le Maroc a enregistré une baisse notable du taux de pauvreté multidimensionnelle, passé de 11,9 % en 2014 à 6,8 % en 2024, et que le Royaume a intégré la catégorie des pays à haut développement humain.
Il a néanmoins souligné que le monde rural reste vulnérable, appelant à des politiques publiques capables de produire un impact réel sur l’ensemble des citoyens, dans la justice et l’équité.
S’appuyant sur la déclaration royale selon laquelle « il n’y a pas de place pour un Maroc à deux vitesses », Amraoui a estimé qu’il s’agit d’un repère fondamental pour toutes les politiques publiques. Il a plaidé pour une refonte des approches territoriales fondées sur la participation, l’intégration et le suivi rigoureux des politiques publiques, afin de rompre avec la centralisation et les inégalités régionales.
Le chef du Groupe a salué l’allocation de 20 milliards de dirhams dans le PLF 2026 pour appuyer la vision royale de réhabilitation globale des territoires. Cette enveloppe vise à lancer une nouvelle génération de programmes de développement territorial intégré, valorisant les spécificités locales et consolidant la régionalisation avancée, dans un esprit de solidarité et d’équité entre les régions.
Abordant la question nationale, Amraoui s’est félicité de la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU, la qualifiant de « transformation historique et décisive » dans le dossier du Sahara marocain. Il a souligné que cette évolution est le fruit de la diplomatie royale calme et déterminée, qui a renforcé le consensus international autour de la justesse de la cause nationale.
Le parlementaire a également remercié les pays amis ; notamment les États-Unis, la France, l’Espagne et la Grande-Bretagne ; pour leur soutien explicite au Maroc au sein du Conseil de sécurité.
Amraoui a rendu hommage aux Forces armées royales, aux services de sécurité et aux habitants des provinces du Sud pour leur engagement dans la défense de l’unité nationale et la protection des frontières, considérant leurs sacrifices comme un symbole de responsabilité collective profondément ancré dans la conscience des Marocains.
Allal Amraoui a conclu son intervention en rappelant que le Maroc est une nation de défis et d’opportunités, et que sa stabilité politique et institutionnelle, garantie par la direction éclairée du Roi Mohammed VI, constitue un capital stratégique pour poursuivre l’ascension du Royaume vers le développement avancé.
