Le département en charge du fait religieux envoie, en effet, chaque année des missions scientifiques composées d’oulémas, de prédicateurs et prédicatrices, mémorisateurs du Saint Coran, dans certains pays, en vue d’accompagner la communauté marocaine et l’instruire des éléments lui permettant de pratiquer ses rituels religieux de bonnes conditions.
Intervenant, Lundi 16 janvier, à la Chambre des Représentants, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Taoufiq, a indiqué que ces actions sont financées à travers des fonds annuels, alloués en soutien aux associations désirant encadrer la communauté marocaine à l’étranger, notamment pour construire, réhabiliter et équiper les mosquées, et ce, dans l’optique de renforcer l’encadrement religieux des Marocains résidant à l’étranger.
Rien qu’en 2022, une subvention de pas moins de 104 millions de dirhams a été allouée à un total de 18 associations œuvrant dans le domaine de l’encadrement religieux des MRE, a fait savoir Ahmed Taoufiq. Parmi les actions déployées pour le soutien de la communauté marocaine à l’étranger, la tutelle a veillé au renforcement des canaux de communication et de coopération avec les organes ociels, notamment, les ambassades et les consulats du Maroc à l’étranger, mais aussi avec les associations et les représentants des mosquées dont la gestion est confiée aux Marocains, en tant qu’interlocuteur officiel pour les autorités supervisant la gestion des affaires religieuses.
Par ailleurs, en réponse à une question sur la régularité de l’envoi des missions scientifiques à l’étranger, le ministre a relevé que cette opération est soumise à la contrainte de la délivrance des visas. «Le ministère de Habous déploie tout les efforts, malgré les restrictions mises en place par certains pays européens, pour faire aboutir les procédures d’octroi des visas d’entrée pour les missions scientifiques dans certains pays », indique-il, faisant part des craintes quant au durcissement par l’Europe, des restrictions qui pourraient impacter l’envoi de missions d’encadrement au bénéfice des MRE, surtout dans un contexte alourdit par les nouvelles orientations de certains pays européens.
D’ailleurs, la délivrance des visas pour les missions d’oulémas à l’étranger ne semble pas un problème spécifique au contexte actuel. « Les gens ne savent pas à quel point nous souffrons pour la délivrance des visas pour les membres des missions scientifiques bien plus au mois de Ramadan, que durant les autres périodes», souligne Ahmed Taoufiq.
Intervenant, Lundi 16 janvier, à la Chambre des Représentants, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Taoufiq, a indiqué que ces actions sont financées à travers des fonds annuels, alloués en soutien aux associations désirant encadrer la communauté marocaine à l’étranger, notamment pour construire, réhabiliter et équiper les mosquées, et ce, dans l’optique de renforcer l’encadrement religieux des Marocains résidant à l’étranger.
Rien qu’en 2022, une subvention de pas moins de 104 millions de dirhams a été allouée à un total de 18 associations œuvrant dans le domaine de l’encadrement religieux des MRE, a fait savoir Ahmed Taoufiq. Parmi les actions déployées pour le soutien de la communauté marocaine à l’étranger, la tutelle a veillé au renforcement des canaux de communication et de coopération avec les organes ociels, notamment, les ambassades et les consulats du Maroc à l’étranger, mais aussi avec les associations et les représentants des mosquées dont la gestion est confiée aux Marocains, en tant qu’interlocuteur officiel pour les autorités supervisant la gestion des affaires religieuses.
Par ailleurs, en réponse à une question sur la régularité de l’envoi des missions scientifiques à l’étranger, le ministre a relevé que cette opération est soumise à la contrainte de la délivrance des visas. «Le ministère de Habous déploie tout les efforts, malgré les restrictions mises en place par certains pays européens, pour faire aboutir les procédures d’octroi des visas d’entrée pour les missions scientifiques dans certains pays », indique-il, faisant part des craintes quant au durcissement par l’Europe, des restrictions qui pourraient impacter l’envoi de missions d’encadrement au bénéfice des MRE, surtout dans un contexte alourdit par les nouvelles orientations de certains pays européens.
D’ailleurs, la délivrance des visas pour les missions d’oulémas à l’étranger ne semble pas un problème spécifique au contexte actuel. « Les gens ne savent pas à quel point nous souffrons pour la délivrance des visas pour les membres des missions scientifiques bien plus au mois de Ramadan, que durant les autres périodes», souligne Ahmed Taoufiq.
