Dans son intervention, elle a souligné que le Conseil a fait du droit à l’environnement et au développement durable un axe majeur de sa stratégie, à travers des mécanismes de suivi, de rapportage et de traitement des plaintes aux niveaux national et régional, ainsi que des programmes de renforcement des capacités visant à promouvoir une approche fondée sur les droits de l’homme pour la protection de l’environnement et la lutte contre le changement climatique.
Mme Maïmouna a insisté sur l’importance de la coopération et de la solidarité entre les pays, d’autant plus que de nombreux pays du Sud subissent les effets du réchauffement climatique alors qu’ils sont les moins responsables des émissions.
Elle a également salué les bonnes pratiques du Maroc en matière de protection du droit à l’environnement, appelant à la mise en place d’un cadre juridique complet et cohérent englobant l’ensemble de la législation environnementale, dans un cadre consultatif garantissant la participation des différents acteurs et parties prenantes.
Elle a enfin souligné l’urgence d’accélérer l’adoption du Plan national d’action sur les entreprises et les droits humains, et de soutenir les efforts internationaux visant à établir un instrument juridique contraignant, réglementant les activités des sociétés transnationales et garantissant leur respect des droits humains.
Mme Maïmouna a insisté sur l’importance de la coopération et de la solidarité entre les pays, d’autant plus que de nombreux pays du Sud subissent les effets du réchauffement climatique alors qu’ils sont les moins responsables des émissions.
Elle a également salué les bonnes pratiques du Maroc en matière de protection du droit à l’environnement, appelant à la mise en place d’un cadre juridique complet et cohérent englobant l’ensemble de la législation environnementale, dans un cadre consultatif garantissant la participation des différents acteurs et parties prenantes.
Elle a enfin souligné l’urgence d’accélérer l’adoption du Plan national d’action sur les entreprises et les droits humains, et de soutenir les efforts internationaux visant à établir un instrument juridique contraignant, réglementant les activités des sociétés transnationales et garantissant leur respect des droits humains.