Baptisée « Edition Téranga », la 8ème édition des Afrima a permis de vendre davantage la capitale sénégalaise, « car plus de 400 artistes parmi lesquels les plus grandes stars de la musique africaine ont pris part à cette première organisation de Afrima en Afrique francophone ». La cérémonie de remise des Prix de la musique africaine est organisée chaque année en partenariat avec la Commission de l’Union Africaine, selon les organisateurs.
Ils ont affirmé, à ce sujet, que pour l’édition 2023, le choix de Dakar « s’est imposé de lui-même ». « On a commencé par le Sénégal vu que le président sénégalais, Macky Sall, est l’actuel président de l’Union Africaine, qui est notre partenaire stratégique », détaille Victoria Nkong. « Notre devoir étant de nous assurer que toute l’Afrique profite des opportunités de cet évènement, l’idéal est de le faire passer par toutes les villes africaines, et c’est le moment de passer dans les pays francophones qui ont besoin de ce soutien dans leur monde du show-biz », a-t-elle fait valoir.
Pour cette année, Afrima a concocté tout un programme durant quatre jours, avec une visite de la ville, des rencontres d’échanges entre artistes, labels, investisseurs de la musique africaine et des médias. D’ailleurs, il y a eu aussi des concerts dédiés aux jeunes artistes. La cérémonie a été retransmise sur 107 chaines de télévision de 84 pays à travers le monde. Il ne pouvait en être autrement quand on sait que le continent africain est connu pour ses cultures diverses.
Ainsi Afrima est une avenue pour présenter, célébrer, promouvoir et préserver le riche patrimoine culturel et les valeurs africaines. A ce titre, il célèbre également les artistes non enregistrés, leur offrant une plate-forme pour présenter leurs talents au monde. Transparence et intégrité Pour ce qui est de la Commission de l’Union Africaine, elle est en partenariat avec l’Afrima ainsi que d’autres agences gouvernementales à travers le continent qui sont ravies de faire partie de cet événement historique.
Depuis sa création, en 2014, seuls des pays anglophones -le Nigéria (de 2014 à 2017) et le Ghana (2018)- ont accueilli l’évènement, la pandémie du Covid-19 ayant empêché la tenue de la manifestation entre 2019 et 2022. Rappelons que dans le cadre des valeurs fondamentales d’Afrima pour faire preuve de transparence et d’intégrité, les œuvres soumises sont examinées par un jury de 13 personnes faisant partie de l’Académie des électeurs d’Afrima comprenant 527 membres regroupés en deux couches de juges répartis dans les cinq régions de l’Afrique.
Quant aux membres du jury, soigneusement sélectionnés pour représenter les cinq (5) régions d’Afrique et de la diaspora, ils sont originaires des pays suivants : Kenya, Sénégal, Ouganda, Maroc, Afrique du Sud, Zimbabwe, Nigéria, Égypte, Guinée équatoriale, Cameroun, Royaume-Uni et des États-Unis, ainsi qu’un représentant de l’Union Africaine. (Nous y reviendrons pour l’annonce des résultats puisqu’ils seront proclamés dans la nuit dedimanche).
Ils ont affirmé, à ce sujet, que pour l’édition 2023, le choix de Dakar « s’est imposé de lui-même ». « On a commencé par le Sénégal vu que le président sénégalais, Macky Sall, est l’actuel président de l’Union Africaine, qui est notre partenaire stratégique », détaille Victoria Nkong. « Notre devoir étant de nous assurer que toute l’Afrique profite des opportunités de cet évènement, l’idéal est de le faire passer par toutes les villes africaines, et c’est le moment de passer dans les pays francophones qui ont besoin de ce soutien dans leur monde du show-biz », a-t-elle fait valoir.
Pour cette année, Afrima a concocté tout un programme durant quatre jours, avec une visite de la ville, des rencontres d’échanges entre artistes, labels, investisseurs de la musique africaine et des médias. D’ailleurs, il y a eu aussi des concerts dédiés aux jeunes artistes. La cérémonie a été retransmise sur 107 chaines de télévision de 84 pays à travers le monde. Il ne pouvait en être autrement quand on sait que le continent africain est connu pour ses cultures diverses.
Ainsi Afrima est une avenue pour présenter, célébrer, promouvoir et préserver le riche patrimoine culturel et les valeurs africaines. A ce titre, il célèbre également les artistes non enregistrés, leur offrant une plate-forme pour présenter leurs talents au monde. Transparence et intégrité Pour ce qui est de la Commission de l’Union Africaine, elle est en partenariat avec l’Afrima ainsi que d’autres agences gouvernementales à travers le continent qui sont ravies de faire partie de cet événement historique.
Depuis sa création, en 2014, seuls des pays anglophones -le Nigéria (de 2014 à 2017) et le Ghana (2018)- ont accueilli l’évènement, la pandémie du Covid-19 ayant empêché la tenue de la manifestation entre 2019 et 2022. Rappelons que dans le cadre des valeurs fondamentales d’Afrima pour faire preuve de transparence et d’intégrité, les œuvres soumises sont examinées par un jury de 13 personnes faisant partie de l’Académie des électeurs d’Afrima comprenant 527 membres regroupés en deux couches de juges répartis dans les cinq régions de l’Afrique.
Quant aux membres du jury, soigneusement sélectionnés pour représenter les cinq (5) régions d’Afrique et de la diaspora, ils sont originaires des pays suivants : Kenya, Sénégal, Ouganda, Maroc, Afrique du Sud, Zimbabwe, Nigéria, Égypte, Guinée équatoriale, Cameroun, Royaume-Uni et des États-Unis, ainsi qu’un représentant de l’Union Africaine. (Nous y reviendrons pour l’annonce des résultats puisqu’ils seront proclamés dans la nuit dedimanche).