Les prévisions de la Direction Technique Nationale ont été réalisées notamment en ce qui concerne le sacre final. Ils ont dominé les 450 participants, venus de 44 pays représentant quatre continents. La domination marocaine s’est faite remarquer dès l’entame de cette 7ème édition du Grand Prix Moulay Al Hassan du para-athlétisme abrité par le Grand Stade de Marrakech et ce, du 9 au 11 mars courant. Les Marocains ont terminé haut la main sur la plus haute marche du podium, enregistrant un total de 39 médailles dont 16 en or, 13 en argent et dix en bronze.
Il a devancé son poursuivant immédiat la Tunisie de 17 médailles ! La France, elle, s’est contentée du 3ème rang avec un total de 20 médailles dont 9 en or, comme d’ailleurs le second classé. L’écart relativement grand du butin des Marocains, atteste de leur supériorité.
Ils étaient menés par des icônes du para-athlétisme comme Ayoub Sadni, détenteur du record du monde du 400 M - T47, réalisé lors de l’édition précédente. Sadni espérait battre son propre record mais l’impondérable a décidé autrement et le priva de ce privilège. Et pour cause, Sadni trainait une vilaine blessure, à laquelle est venue s’ajouter une grippe attrapé la veille même de la compétition. Chapeau déjà pour avoir couru et grand bravo pour avoir pris le meilleur sur ses concurrents et estampillé ainsi son billet pour le prochain Championnat du monde et pour les Jeux Paralympiques de Paris 2024.
Malgré l’importance de son volume, la moisson globale des Marocains reste toutefois inférieure quantitativement à celle réalisée à l’édition de 2022 quand ils ont obtenu 48 médailles, soit 9 médailles de plus qu’en 2023. Mais qualitativement, la 7ème édition est meilleure puisque le Maroc a trusté pas moins de 16 médailles en or contre 9 l’année d’avant. La différence entre les deux éditions est à chercher également au niveau des records. L’avantage revient à la 6ème édition où les Marocains ont signé deux records du monde. Les finales qui eurent lieu samedi dernier au Grand Stade de Marrakech se sont déroulés dans la liesse populaire, rythmée par un groupe folklorique venu encourager les nôtres.
Parmi l’assistance, au demeurant assez fournie, on pouvait relever la présence remarquée des chefs des délégations, des personnalités de l’administration publique avec à leur tête la patronne de l’Inspection Générale du ministère de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du Développement Social.
Celle-ci a participé au séminaire organisé auparavant, ce jour-même, par la Fédération Royale Marocaine des Personne en Situation de Handicap. Placé sous le thème : « Femme et Para-sport », ce séminaire a été l’occasion pour rendre hommage posthume à la femme, fêtée mondialement le 8 mars de chaque année (Nous reviendrons sur ce séminaire). Le programme comportait en plus des rencontres comme celle avec les associations et les clubs affiliés à la fédération pour la saison sportive 2022/2023, il y a eu une formation en Classification pour Déficience Intellectuelle et des Journées de sensibilisation au Para-Sport.
Il a devancé son poursuivant immédiat la Tunisie de 17 médailles ! La France, elle, s’est contentée du 3ème rang avec un total de 20 médailles dont 9 en or, comme d’ailleurs le second classé. L’écart relativement grand du butin des Marocains, atteste de leur supériorité.
Ils étaient menés par des icônes du para-athlétisme comme Ayoub Sadni, détenteur du record du monde du 400 M - T47, réalisé lors de l’édition précédente. Sadni espérait battre son propre record mais l’impondérable a décidé autrement et le priva de ce privilège. Et pour cause, Sadni trainait une vilaine blessure, à laquelle est venue s’ajouter une grippe attrapé la veille même de la compétition. Chapeau déjà pour avoir couru et grand bravo pour avoir pris le meilleur sur ses concurrents et estampillé ainsi son billet pour le prochain Championnat du monde et pour les Jeux Paralympiques de Paris 2024.
Malgré l’importance de son volume, la moisson globale des Marocains reste toutefois inférieure quantitativement à celle réalisée à l’édition de 2022 quand ils ont obtenu 48 médailles, soit 9 médailles de plus qu’en 2023. Mais qualitativement, la 7ème édition est meilleure puisque le Maroc a trusté pas moins de 16 médailles en or contre 9 l’année d’avant. La différence entre les deux éditions est à chercher également au niveau des records. L’avantage revient à la 6ème édition où les Marocains ont signé deux records du monde. Les finales qui eurent lieu samedi dernier au Grand Stade de Marrakech se sont déroulés dans la liesse populaire, rythmée par un groupe folklorique venu encourager les nôtres.
Parmi l’assistance, au demeurant assez fournie, on pouvait relever la présence remarquée des chefs des délégations, des personnalités de l’administration publique avec à leur tête la patronne de l’Inspection Générale du ministère de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du Développement Social.
Celle-ci a participé au séminaire organisé auparavant, ce jour-même, par la Fédération Royale Marocaine des Personne en Situation de Handicap. Placé sous le thème : « Femme et Para-sport », ce séminaire a été l’occasion pour rendre hommage posthume à la femme, fêtée mondialement le 8 mars de chaque année (Nous reviendrons sur ce séminaire). Le programme comportait en plus des rencontres comme celle avec les associations et les clubs affiliés à la fédération pour la saison sportive 2022/2023, il y a eu une formation en Classification pour Déficience Intellectuelle et des Journées de sensibilisation au Para-Sport.
