Bank Al-Maghrib (BAM) a ainsi rehaussé ses projections de croissance du PIB à 5%, puis à 4,5% en moyenne au cours des deux prochaines années. Si les pluies se poursuivent jusqu’en mars, cette trajectoire pourrait s’accélérer, selon les analystes.
Ces taux de croissance remettent le pays sur le chemin du développement, après six années de sécheresse qui ont pesé lourdement sur l’économie nationale et fait exploser le chômage, en particulier en milieu rural. Récupérer l’ensemble des emplois perdus et relancer durablement l’activité prendront certes du temps, mais les signaux actuels vont dans le bon sens.
Or, ces années ont aussi mis en évidence la résilience de l’économie nationale, qui a su s’appuyer sur d’autres secteurs, comme l’industrie et le tourisme, lorsque l’agriculture était en panne. La croissance, quoique modeste, autour de 2%, est restée au rendez-vous, signe que notre économie peut désormais supporter des chocs externes, aussi durs soient-ils.
En poursuivant les investissements dans les infrastructures d’adaptation, comme le dessalement de l’eau de mer, l’économie nationale sera durablement mieux protégée contre ces chocs. Il convient donc de profiter des marges de manœuvre budgétaires qui seront dégagées durant ces années de croissance pour accélérer ces chantiers.
Sans oublier les chantiers prioritaires fixés par Sa Majesté le Roi dans le cadre de la Loi de Finances 2026, notamment dans deux secteurs (Education et Santé) qui bénéficieront d’un budget record de 140 milliards de dirhams. Une croissance économique soutenue permettra d’en assurer la mise en œuvre dans la durée, avec des investissements de plus en plus importants.
Espérons donc que ces chiffres de croissance ne soient pas conjoncturels et que l’économie marocaine s’inscrive dans un rythme de croisière durable, afin de faire définitivement du Maroc un pays développé et industrialisé.
Ces taux de croissance remettent le pays sur le chemin du développement, après six années de sécheresse qui ont pesé lourdement sur l’économie nationale et fait exploser le chômage, en particulier en milieu rural. Récupérer l’ensemble des emplois perdus et relancer durablement l’activité prendront certes du temps, mais les signaux actuels vont dans le bon sens.
Or, ces années ont aussi mis en évidence la résilience de l’économie nationale, qui a su s’appuyer sur d’autres secteurs, comme l’industrie et le tourisme, lorsque l’agriculture était en panne. La croissance, quoique modeste, autour de 2%, est restée au rendez-vous, signe que notre économie peut désormais supporter des chocs externes, aussi durs soient-ils.
En poursuivant les investissements dans les infrastructures d’adaptation, comme le dessalement de l’eau de mer, l’économie nationale sera durablement mieux protégée contre ces chocs. Il convient donc de profiter des marges de manœuvre budgétaires qui seront dégagées durant ces années de croissance pour accélérer ces chantiers.
Sans oublier les chantiers prioritaires fixés par Sa Majesté le Roi dans le cadre de la Loi de Finances 2026, notamment dans deux secteurs (Education et Santé) qui bénéficieront d’un budget record de 140 milliards de dirhams. Une croissance économique soutenue permettra d’en assurer la mise en œuvre dans la durée, avec des investissements de plus en plus importants.
Espérons donc que ces chiffres de croissance ne soient pas conjoncturels et que l’économie marocaine s’inscrive dans un rythme de croisière durable, afin de faire définitivement du Maroc un pays développé et industrialisé.
