Accueillie par l’ENSA d’El Jadida lors du Forum de l’innovation, la délégation française a pu mesurer le potentiel de la ville, présentée comme un nouveau catalyseur entre l’Afrique, la Chine et l’Europe. L’événement a réuni diplomates, chercheurs et responsables académiques autour de projets scientifiques émergents, ouvrant la voie à des partenariats élargis en matière de recherche et d’innovation.
La mission a ensuite poursuivi ses travaux à Béni Mellal, où les échanges ont porté sur l’articulation entre sciences fondamentales et agriculture, avant de rejoindre Rabat pour des discussions centrées sur les perspectives de l’hydrogène et leur dimension géologique. À Kénitra, les visites de l’IUT et de l’ENSA ont permis d’aborder les enjeux du développement durable et de l’innovation environnementale. La tournée s’est achevée à Fès par une immersion dans les infrastructures médicales universitaires de la ville.
Une réunion à l’ambassade de France, en présence de l’attaché scientifique Pierre Brun, a complété le déplacement, consacrant la volonté commune d’intensifier la coopération entre les deux pays.
Conçue initialement autour de l’ingénierie et des métiers du sport, la mission a révélé un champ d’action plus vaste que prévu. Le professeur El Ganaoui, initiateur du projet, a assuré que des mesures rapides seront prises afin de structurer les synergies identifiées et de consolider la dynamique relancée entre les universités française et marocaine.
La mission a ensuite poursuivi ses travaux à Béni Mellal, où les échanges ont porté sur l’articulation entre sciences fondamentales et agriculture, avant de rejoindre Rabat pour des discussions centrées sur les perspectives de l’hydrogène et leur dimension géologique. À Kénitra, les visites de l’IUT et de l’ENSA ont permis d’aborder les enjeux du développement durable et de l’innovation environnementale. La tournée s’est achevée à Fès par une immersion dans les infrastructures médicales universitaires de la ville.
Une réunion à l’ambassade de France, en présence de l’attaché scientifique Pierre Brun, a complété le déplacement, consacrant la volonté commune d’intensifier la coopération entre les deux pays.
Conçue initialement autour de l’ingénierie et des métiers du sport, la mission a révélé un champ d’action plus vaste que prévu. Le professeur El Ganaoui, initiateur du projet, a assuré que des mesures rapides seront prises afin de structurer les synergies identifiées et de consolider la dynamique relancée entre les universités française et marocaine.
Mohamed LOKHNATI



















