Il était 13h30 lorsque les motocyclistes de la gendarmerie royale ont été dépêchés sur place. L’intervention fut rapide, méthodique : sécurisation du périmètre, prélèvements par la police scientifique, et premières hypothèses lancées. Tout porte à croire que les trafiquants, pris en étau par les patrouilles maritimes renforcées sur les côtes de la province, auraient abandonné leur cargaison en urgence.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Deux jours plus tôt, à Ouled Ghanem, onze individus ont été arrêtés dans une tentative de trafic maritime avortée. À bord d’une Renault, les gendarmes ont mis la main sur un canot pneumatique motorisé, prêt à prendre le large pour livrer sa marchandise en pleine mer. Une opération qui, selon les enquêteurs, pourrait être liée à la découverte de Sidi Ismaïl.
Entre les ballots échoués sur l’asphalte et les embarcations clandestines prêtes à fendre les vagues, une chose est claire : les trafiquants ont perdu leur calme… et leur cargaison. La vigilance des forces de l’ordre, elle, ne faiblit pas. Et dans les coulisses de cette traque, une guerre silencieuse se joue, où chaque saisie est une victoire contre l’ombre.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Deux jours plus tôt, à Ouled Ghanem, onze individus ont été arrêtés dans une tentative de trafic maritime avortée. À bord d’une Renault, les gendarmes ont mis la main sur un canot pneumatique motorisé, prêt à prendre le large pour livrer sa marchandise en pleine mer. Une opération qui, selon les enquêteurs, pourrait être liée à la découverte de Sidi Ismaïl.
Entre les ballots échoués sur l’asphalte et les embarcations clandestines prêtes à fendre les vagues, une chose est claire : les trafiquants ont perdu leur calme… et leur cargaison. La vigilance des forces de l’ordre, elle, ne faiblit pas. Et dans les coulisses de cette traque, une guerre silencieuse se joue, où chaque saisie est une victoire contre l’ombre.
Mohamed LOKHNATI