Cette semaine, son regard acéré se pose sur Jabria Oum Tolba, Tamda et Sidi Bennour trois collectivités où le développement tarde parfois à concrétiser ses promesses. Loin des bureaux climatisés, c’est une plongée in situ que mène l’officiel, déterminé à ausculter la réalité parfois rugueuse des services publics et l’épineux dossier des projets paralysés.
Sur le front du développement, chaque minute compte. Le gouverneur ne se contente pas d’écouter ; il traque les goulots d’étranglement, exige des comptes sur les retards, et cherche fébrilement les leviers pour débloquer l’impensable. Comment redonner un souffle vital aux chantiers enlisés ? Comment transcender la lourdeur administrative pour offrir aux citoyens de Jabriya, Tamda et Sidi Bennour des services dignes du XXIe siècle ? Telles sont les équations que l’agent tente de résoudre, sous le regard impatient des populations.
Cette immersion n’est pas un simple exercice de style. Elle s’apparente à une course contre la montre, dans un contexte où la défiance envers l’action publique guette. Quand le gouverneur débarque avec son carnet de doléances et son calepin de solutions, c’est tout l’appareil local qui est mis sous pression. Sa mission : transformer le diagnostic en remède choc, et les intentions en réalisations tangibles. Le compte à rebours est lancé pour les projets fantômes. La crédibilité de l’administration se joue aussi sur ces chemins de terre.
Ces tournées préfectorales, si elles témoignent d’une volonté louable de désenclaver les territoires oubliés, soulèvent une question cruciale : jusqu’où un homme seul peut-il lutter contre la bureaucratie sclérosante et les inerties locales ? Tous les espoirs sont investi sur le nouveau gouverneur de la province, pour jouer les pompiers du développement, mais le véritable test sera l’après-visite. Les populations de Jabria,Tamda, et Sidi Bennour elles, n’attendent plus des diagnostics – elles exigent des actes. Et si le chantier le plus urgent était celui de la déliquescence de l’État dans ses propres profondeurs ?
Sur le front du développement, chaque minute compte. Le gouverneur ne se contente pas d’écouter ; il traque les goulots d’étranglement, exige des comptes sur les retards, et cherche fébrilement les leviers pour débloquer l’impensable. Comment redonner un souffle vital aux chantiers enlisés ? Comment transcender la lourdeur administrative pour offrir aux citoyens de Jabriya, Tamda et Sidi Bennour des services dignes du XXIe siècle ? Telles sont les équations que l’agent tente de résoudre, sous le regard impatient des populations.
Cette immersion n’est pas un simple exercice de style. Elle s’apparente à une course contre la montre, dans un contexte où la défiance envers l’action publique guette. Quand le gouverneur débarque avec son carnet de doléances et son calepin de solutions, c’est tout l’appareil local qui est mis sous pression. Sa mission : transformer le diagnostic en remède choc, et les intentions en réalisations tangibles. Le compte à rebours est lancé pour les projets fantômes. La crédibilité de l’administration se joue aussi sur ces chemins de terre.
Ces tournées préfectorales, si elles témoignent d’une volonté louable de désenclaver les territoires oubliés, soulèvent une question cruciale : jusqu’où un homme seul peut-il lutter contre la bureaucratie sclérosante et les inerties locales ? Tous les espoirs sont investi sur le nouveau gouverneur de la province, pour jouer les pompiers du développement, mais le véritable test sera l’après-visite. Les populations de Jabria,Tamda, et Sidi Bennour elles, n’attendent plus des diagnostics – elles exigent des actes. Et si le chantier le plus urgent était celui de la déliquescence de l’État dans ses propres profondeurs ?