C'est dans ce cadre d'ailleurs qu'une délégation de l’Université Chouaïb Doukkali a été reçue, dernièrement par le gouverneur de la province de Sidi Bennour.
Ce projet structurant vise à renforcer l’offre de formation locale, répondre aux besoins croissants des bacheliers de la région, et contribuer à la dynamique de développement socio-économique par la recherche et l’innovation.
Le gouverneur a exprimé à cette occasion son soutien plein et entier à cette initiative, saluée comme un levier d’avenir pour la jeunesse provinciale. L’Université, de son côté, a réaffirmé sa volonté de collaborer avec l’ensemble des partenaires institutionnels pour garantir la réussite du projet.
Au-delà de l’enjeu purement éducatif, c’est une véritable ambition de développement local qui se dessine. Car un campus, ce n’est pas seulement des salles de cours : c’est un écosystème qui attire les talents, stimule l’économie, génère des services, et ancre une ville dans les cartes du savoir.
Reste à espérer que cette volonté affichée par les autorités locales et l’Université se traduise rapidement en actes concrets. La jeunesse de Sidi Bennour, trop souvent contrainte à l’exil académique, mérite pleinement cette opportunité.
Ce projet structurant vise à renforcer l’offre de formation locale, répondre aux besoins croissants des bacheliers de la région, et contribuer à la dynamique de développement socio-économique par la recherche et l’innovation.
Le gouverneur a exprimé à cette occasion son soutien plein et entier à cette initiative, saluée comme un levier d’avenir pour la jeunesse provinciale. L’Université, de son côté, a réaffirmé sa volonté de collaborer avec l’ensemble des partenaires institutionnels pour garantir la réussite du projet.
Au-delà de l’enjeu purement éducatif, c’est une véritable ambition de développement local qui se dessine. Car un campus, ce n’est pas seulement des salles de cours : c’est un écosystème qui attire les talents, stimule l’économie, génère des services, et ancre une ville dans les cartes du savoir.
Reste à espérer que cette volonté affichée par les autorités locales et l’Université se traduise rapidement en actes concrets. La jeunesse de Sidi Bennour, trop souvent contrainte à l’exil académique, mérite pleinement cette opportunité.
Mohamed LOKHNATI