Mais derrière cette apparente sérénité, certains parents restent sur leurs gardes. Les ruptures de stock de dernière minute sont encore dans les mémoires, et l’expérience pousse à la prudence. Ahmed, père d’un élève de CM1, confie qu’il se retrouve « chaque année à courir dans les librairies à la dernière minute ». Même si les libraires se veulent rassurants, il préfère « acheter tout ce qu'il me faut dès que possible », car « les enfants attendent souvent leurs manuels pour attaquer le programme dès la rentrée ».
Les professionnels du secteur, appellent quant à eux, à l’anticipation. L’Alliance des libraires au Maroc (ALM) insiste sur l’importance de ne pas attendre la fin août pour effectuer ses achats. Une recommandation que Leila, mère d’une collégienne, applique scrupuleusement. Elle explique qu’elle « prend toujours un jour de congé pour faire les courses de rentrée », profitant d’une météo encore clémente pour « faire le tour des librairies tranquillement ». Elle préfère « être préparée plutôt que de m'inquiéter de ce qui pourrait être épuisé ».
Au-delà des librairies, les établissements scolaires jouent également un rôle dans la distribution des manuels. Chaque école applique ses propres modalités, parfois méconnues des familles. Samira, responsable d'une coopérative scolaire, souligne qu’elle conseille souvent aux parents « de se renseigner auprès de l’école pour savoir quels manuels sont réellement nécessaires ». Elle rappelle que « parfois, il y a des livres que l’école fournit », ce qui peut « faire une différence significative sur le budget ».
Dans l’ensemble, la rentrée à El Jadida se prépare dans un climat de mobilisation collective. Entre vigilance budgétaire, organisation anticipée et dialogue avec les établissements, les familles s’activent pour offrir à leurs enfants un démarrage scolaire serein et structuré.
Les professionnels du secteur, appellent quant à eux, à l’anticipation. L’Alliance des libraires au Maroc (ALM) insiste sur l’importance de ne pas attendre la fin août pour effectuer ses achats. Une recommandation que Leila, mère d’une collégienne, applique scrupuleusement. Elle explique qu’elle « prend toujours un jour de congé pour faire les courses de rentrée », profitant d’une météo encore clémente pour « faire le tour des librairies tranquillement ». Elle préfère « être préparée plutôt que de m'inquiéter de ce qui pourrait être épuisé ».
Au-delà des librairies, les établissements scolaires jouent également un rôle dans la distribution des manuels. Chaque école applique ses propres modalités, parfois méconnues des familles. Samira, responsable d'une coopérative scolaire, souligne qu’elle conseille souvent aux parents « de se renseigner auprès de l’école pour savoir quels manuels sont réellement nécessaires ». Elle rappelle que « parfois, il y a des livres que l’école fournit », ce qui peut « faire une différence significative sur le budget ».
Dans l’ensemble, la rentrée à El Jadida se prépare dans un climat de mobilisation collective. Entre vigilance budgétaire, organisation anticipée et dialogue avec les établissements, les familles s’activent pour offrir à leurs enfants un démarrage scolaire serein et structuré.
Mohamed LOKHNATI
