
Cet événement, organisé par le Conseil communal de Marrakech à l’occasion de la célébration d’Achoura, a offert aux passionnés de cet art une expérience artistique unique, alliant rythme, identité et l’âme joyeuse de la cité.
Ce festival s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie de la Commune de Marrakech pour sauvegarder l’identité culturelle locale et valoriser cet héritage authentique, reconnu comme patrimoine culturel immatériel du monde islamique par l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, la science et la culture.
Cette édition a réuni un florilège de troupes traditionnelles de la Dakka Marrakchia, arborant leurs tenues typiques, qui ont enchanté un large public composé d’habitants, de visiteurs, de passionnés et de représentants de la société civile, rassemblés en grand nombre autour de la place Hôtel de Ville.
Ces troupes ont présenté des performances festives aux rythmes soigneusement cadencés, accompagnés de chants et d’instruments traditionnels tels que la taarija, le bendir et les qarqabous.
La célébration a également été animée par divers groupes artistiques qui ont mêlé les styles de la musique gnawa, du madih (chants religieux), du samaâ, du qoul (poésie chantée), et de la Dakka Marrakchia, dessinant ainsi une fresque artistique collective ayant enflammé l’enthousiasme du public, qui a réagi spontanément à ces sonorités.
Dans une déclaration à la MAP, le premier vice-président du Conseil communal de Marrakech, Mohamed Idrissi, a relevé que l’objectif de ce festival est de mettre en valeur la Dakka Marrakchia en tant que forme d’art populaire ancestral, profondément enracinée dans la culture de la Cité Ocre.
Il a, dans ce sens, souligné la nécessité de préserver le caractère traditionnel de cet art, d’encourager la jeunesse à s’y intéresser, à s’y engager, et à contribuer à sa pérennisation.
Pour sa part, Abdessamad Lakssiss, président de l’Association “Ahl Al Maghna pour les arts”, a salué l’organisation de ce festival, qui vise à raviver ce patrimoine culturel profondément enraciné dans plusieurs régions marocaines, telles que Taroudant, Demnate ou Essaouira, et à renforcer son rayonnement.
Il a également appelé à inciter les nouvelles générations à s’intéresser à la Dakka Marrakchia, considérée comme un art populaire emblématique de la ville, rappelant que cet art a toujours constitué un terreau fertile pour de nombreux artistes qui s’en sont inspirés dans leurs œuvres.
Ce festival s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie de la Commune de Marrakech pour sauvegarder l’identité culturelle locale et valoriser cet héritage authentique, reconnu comme patrimoine culturel immatériel du monde islamique par l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, la science et la culture.
Cette édition a réuni un florilège de troupes traditionnelles de la Dakka Marrakchia, arborant leurs tenues typiques, qui ont enchanté un large public composé d’habitants, de visiteurs, de passionnés et de représentants de la société civile, rassemblés en grand nombre autour de la place Hôtel de Ville.
Ces troupes ont présenté des performances festives aux rythmes soigneusement cadencés, accompagnés de chants et d’instruments traditionnels tels que la taarija, le bendir et les qarqabous.
La célébration a également été animée par divers groupes artistiques qui ont mêlé les styles de la musique gnawa, du madih (chants religieux), du samaâ, du qoul (poésie chantée), et de la Dakka Marrakchia, dessinant ainsi une fresque artistique collective ayant enflammé l’enthousiasme du public, qui a réagi spontanément à ces sonorités.
Dans une déclaration à la MAP, le premier vice-président du Conseil communal de Marrakech, Mohamed Idrissi, a relevé que l’objectif de ce festival est de mettre en valeur la Dakka Marrakchia en tant que forme d’art populaire ancestral, profondément enracinée dans la culture de la Cité Ocre.
Il a, dans ce sens, souligné la nécessité de préserver le caractère traditionnel de cet art, d’encourager la jeunesse à s’y intéresser, à s’y engager, et à contribuer à sa pérennisation.
Pour sa part, Abdessamad Lakssiss, président de l’Association “Ahl Al Maghna pour les arts”, a salué l’organisation de ce festival, qui vise à raviver ce patrimoine culturel profondément enraciné dans plusieurs régions marocaines, telles que Taroudant, Demnate ou Essaouira, et à renforcer son rayonnement.
Il a également appelé à inciter les nouvelles générations à s’intéresser à la Dakka Marrakchia, considérée comme un art populaire emblématique de la ville, rappelant que cet art a toujours constitué un terreau fertile pour de nombreux artistes qui s’en sont inspirés dans leurs œuvres.