La FMBP rappelle d’abord les efforts importants menés par l’État pour subventionner les matières premières de base, notamment le blé tendre, qu’elle considère comme un composant essentiel pour la sécurité alimentaire “nationale”.
La Fédération conteste les déclarations du ministre chargé du budget selon lesquelles l’État subventionnerait le blé tendre afin de maintenir le prix du pain à 1,20 dirham l’unité. Elle estime ces affirmations inexactes, rappelant que le prix de base du pain courant est régi par la loi sur la liberté des prix et de la concurrence.
La FMBP insiste cependant sur plusieurs points. Elle affirme que les professionnels du secteur n’ont jamais bénéficié de la farine subventionnée et que le pain au prix de 1,20 dirham n’est maintenu que grâce aux efforts des boulangers eux-mêmes, malgré la hausse importante des coûts de production. Elle précise que la farine vendue à 3,5 dirhams ne provient pas de farine subventionnée, mais de farines spéciales relevant des produits de grande consommation, dont les prix sont totalement libérés.
La Fédération ajoute que la farine utilisée dans les foyers est différente de celle destinée à la boulangerie, et qu’elle n’a aucun lien avec le pain vendu couramment. Elle indique également que les prix de certaines farines atteignent 5 à 6 dirhams le kilogramme, ce qui rend encore plus difficile l’exercice de l’activité dans un contexte marqué par la hausse des cout de production et des charges.
Le communiqué précise par ailleurs que la Fédération n’a jamais reçu aucune subvention de la part du gouvernement.
La FMBP appelle à revoir un ensemble de mécanismes relatifs au secteur, d’autant que celui-ci fait face à de nombreuses contraintes : coût élevé des matières premières et de l’énergie, concurrence du secteur informel, manque de programmes de formation aux acteurs. Elle insiste sur la nécessité de préserver la viabilité des entreprises, de garantir la durabilité du secteur et de protéger les droits des employés et des consommateurs.
Elle plaide également pour une révision structurelle de la filière de la farine, en mettant en avant la nécessité d’améliorer la qualité de la farine destinée aux boulangers et d’encourager l’usage d’emballages respectueux de la santé et de l’environnement.
La Fédération conteste les déclarations du ministre chargé du budget selon lesquelles l’État subventionnerait le blé tendre afin de maintenir le prix du pain à 1,20 dirham l’unité. Elle estime ces affirmations inexactes, rappelant que le prix de base du pain courant est régi par la loi sur la liberté des prix et de la concurrence.
La FMBP insiste cependant sur plusieurs points. Elle affirme que les professionnels du secteur n’ont jamais bénéficié de la farine subventionnée et que le pain au prix de 1,20 dirham n’est maintenu que grâce aux efforts des boulangers eux-mêmes, malgré la hausse importante des coûts de production. Elle précise que la farine vendue à 3,5 dirhams ne provient pas de farine subventionnée, mais de farines spéciales relevant des produits de grande consommation, dont les prix sont totalement libérés.
La Fédération ajoute que la farine utilisée dans les foyers est différente de celle destinée à la boulangerie, et qu’elle n’a aucun lien avec le pain vendu couramment. Elle indique également que les prix de certaines farines atteignent 5 à 6 dirhams le kilogramme, ce qui rend encore plus difficile l’exercice de l’activité dans un contexte marqué par la hausse des cout de production et des charges.
Le communiqué précise par ailleurs que la Fédération n’a jamais reçu aucune subvention de la part du gouvernement.
La FMBP appelle à revoir un ensemble de mécanismes relatifs au secteur, d’autant que celui-ci fait face à de nombreuses contraintes : coût élevé des matières premières et de l’énergie, concurrence du secteur informel, manque de programmes de formation aux acteurs. Elle insiste sur la nécessité de préserver la viabilité des entreprises, de garantir la durabilité du secteur et de protéger les droits des employés et des consommateurs.
Elle plaide également pour une révision structurelle de la filière de la farine, en mettant en avant la nécessité d’améliorer la qualité de la farine destinée aux boulangers et d’encourager l’usage d’emballages respectueux de la santé et de l’environnement.


















