Ce texte n’est pas un communiqué ordinaire. Il porte en lui l’écho d’un consensus national forgé par des générations de Marocains, toutes sensibilités confondues, convaincus que l’unité territoriale n’est pas une option, mais l’ossature même de la Nation. Le Parti de l’Istiqlal, fidèle à l’héritage de son fondateur Allal El Fassi, rappelle ici que le Sahara est une cause de principe, une cause de vie, une cause d’avenir.
Une vision royale, un cap stratégique
Depuis plus de deux décennies, le Roi Mohammed VI a ancré la question du Sahara dans une vision claire : celle d’un Maroc qui défend son intégrité avec fermeté, mais qui le fait par la proposition et l’ouverture. Le plan d’autonomie, qualifié de sérieux, crédible et réaliste par la communauté internationale, n’est pas seulement une offre politique : c’est un projet de paix, un modèle de gouvernance et une main tendue pour clore un conflit artificiel qui n’a que trop duré.
Le constat est là : jamais la dynamique diplomatique en faveur du Sahara marocain n’a été aussi forte. Les reconnaissances se multiplient, les consulats s’installent à Laâyoune et Dakhla, et le Maroc, en s’imposant comme acteur régional incontournable, démontre que la légitimité s’accompagne de résultats tangibles.
Du politique au développement : le pari réussi
L’autre axe majeur de cette Déclaration est la reconnaissance d’un fait indéniable : le Sahara marocain n’est pas une terre de promesses abstraites, mais un laboratoire de développement. Le nouveau modèle lancé par le Souverain a transformé les provinces du Sud en un espace d’investissement et de prospérité. Routes, ports, aéroports, zones industrielles, services sociaux et culturels : tout concourt à faire de Laâyoune, Dakhla et Es-Semara des pôles régionaux capables d’attirer capitaux étrangers et initiatives locales.
Cette dynamique n’est pas seulement économique. Elle est sociale et culturelle, car elle place les jeunes, le capital immatériel et les spécificités locales au cœur de l’action. Le cas d’Es-Semara en est une parfaite illustration : ville de savoir, riche de sa mémoire et de ses élites, elle aspire à devenir un centre de rayonnement scientifique et entrepreneurial.
Le Sahara, levier d’intégration africaine et atlantique
L’éditorial ne pouvait ignorer la dimension géostratégique. Le Maroc regarde vers l’avenir et projette ses provinces du Sud comme plateforme d’intégration régionale. Le gazoduc Nigeria-Maroc, l’Initiative atlantique permettant aux pays du Sahel d’accéder à l’océan, ou encore les investissements dans l’hydrogène vert et les technologies propres, montrent que le Sahara n’est pas seulement un territoire à défendre, mais un tremplin vers la modernité.
Dans un monde traversé par de nouvelles rivalités énergétiques et sécuritaires, le Maroc propose une alternative : stabilité, coopération et avenir partagé.
Un appel à la réconciliation
Enfin, la Déclaration d’Es-Semara adresse un message humain et fraternel : aux séquestrés dans les camps de Tindouf, elle tend la main. L’heure est venue de rejoindre la patrie, de participer au chantier démocratique et au décollage économique. Le plan d’autonomie n’est pas seulement une formule institutionnelle : il est une promesse de dignité, d’inclusion et de vie commune.
Une vision royale, un cap stratégique
Depuis plus de deux décennies, le Roi Mohammed VI a ancré la question du Sahara dans une vision claire : celle d’un Maroc qui défend son intégrité avec fermeté, mais qui le fait par la proposition et l’ouverture. Le plan d’autonomie, qualifié de sérieux, crédible et réaliste par la communauté internationale, n’est pas seulement une offre politique : c’est un projet de paix, un modèle de gouvernance et une main tendue pour clore un conflit artificiel qui n’a que trop duré.
Le constat est là : jamais la dynamique diplomatique en faveur du Sahara marocain n’a été aussi forte. Les reconnaissances se multiplient, les consulats s’installent à Laâyoune et Dakhla, et le Maroc, en s’imposant comme acteur régional incontournable, démontre que la légitimité s’accompagne de résultats tangibles.
Du politique au développement : le pari réussi
L’autre axe majeur de cette Déclaration est la reconnaissance d’un fait indéniable : le Sahara marocain n’est pas une terre de promesses abstraites, mais un laboratoire de développement. Le nouveau modèle lancé par le Souverain a transformé les provinces du Sud en un espace d’investissement et de prospérité. Routes, ports, aéroports, zones industrielles, services sociaux et culturels : tout concourt à faire de Laâyoune, Dakhla et Es-Semara des pôles régionaux capables d’attirer capitaux étrangers et initiatives locales.
Cette dynamique n’est pas seulement économique. Elle est sociale et culturelle, car elle place les jeunes, le capital immatériel et les spécificités locales au cœur de l’action. Le cas d’Es-Semara en est une parfaite illustration : ville de savoir, riche de sa mémoire et de ses élites, elle aspire à devenir un centre de rayonnement scientifique et entrepreneurial.
Le Sahara, levier d’intégration africaine et atlantique
L’éditorial ne pouvait ignorer la dimension géostratégique. Le Maroc regarde vers l’avenir et projette ses provinces du Sud comme plateforme d’intégration régionale. Le gazoduc Nigeria-Maroc, l’Initiative atlantique permettant aux pays du Sahel d’accéder à l’océan, ou encore les investissements dans l’hydrogène vert et les technologies propres, montrent que le Sahara n’est pas seulement un territoire à défendre, mais un tremplin vers la modernité.
Dans un monde traversé par de nouvelles rivalités énergétiques et sécuritaires, le Maroc propose une alternative : stabilité, coopération et avenir partagé.
Un appel à la réconciliation
Enfin, la Déclaration d’Es-Semara adresse un message humain et fraternel : aux séquestrés dans les camps de Tindouf, elle tend la main. L’heure est venue de rejoindre la patrie, de participer au chantier démocratique et au décollage économique. Le plan d’autonomie n’est pas seulement une formule institutionnelle : il est une promesse de dignité, d’inclusion et de vie commune.
Conclusion : Es-Semara, une étape vers le dénouement
À travers cette déclaration, le Maroc réaffirme qu’il est prêt : prêt à défendre son unité, prêt à accélérer le développement, prêt à jouer son rôle dans la stabilité régionale. Le Conseil de sécurité des Nations Unies, lors de sa prochaine réunion, dispose d’une opportunité historique pour tourner la page d’un différend stérile et consacrer une réalité évidente.
Es-Semara devient alors bien plus qu’un lieu de rencontre : elle est le symbole d’une fidélité nationale, la preuve que l’histoire, la légitimité et l’avenir convergent vers une seule certitude : le Sahara est marocain, et il est l’horizon d’un Maroc qui avance.
Es-Semara devient alors bien plus qu’un lieu de rencontre : elle est le symbole d’une fidélité nationale, la preuve que l’histoire, la légitimité et l’avenir convergent vers une seule certitude : le Sahara est marocain, et il est l’horizon d’un Maroc qui avance.