Selon les représentants de l’opposition, ce rejet s’explique par l’échec de l’expérience antérieure de l’entreprise délégataire, marquée, selon eux, par une gestion jugée improvisée, de multiples dysfonctionnements, une dégradation de la qualité des prestations, ainsi qu’un coût financier élevé pesant sur le budget communal sans retombées jugées satisfaisantes.
Face aux risques que cette situation pourrait engendrer pour la continuité du service de propreté urbaine, l’opposition a estimé que la gestion directe constitue, à ce stade, l’option la plus appropriée. Cette approche reposerait notamment sur la récupération des équipements et des camions qui reviendront à la commune à l’issue du contrat, ainsi que sur la mobilisation des cadres techniques et des agents actuellement en poste, afin d’assurer la continuité du service, de maîtriser les dépenses et d’améliorer la qualité des prestations.
Dans une perspective de solutions durables, l’opposition a également évoqué la possibilité de créer, à moyen terme, une société de développement local, présentée comme une option complémentaire susceptible d’assurer une meilleure gouvernance du secteur, à travers le renforcement du contrôle public, de l’efficacité de la gestion et du principe de reddition des comptes.
Selon l’opposition, cette approche permettrait de dégager des marges financières pouvant être réinvesties dans l’acquisition de matériel, l’amélioration des conditions de travail et la création d’emplois stables au profit des habitants de la province.
Les composantes de l’opposition ont enfin salué les efforts du gouverneur de la province de Sidi Bennour, mettant en avant sa disponibilité au dialogue, son sens de l’écoute et son interaction avec les différents acteurs, soulignant l’importance du dialogue institutionnel dans le traitement des dossiers d’intérêt local.
Face aux risques que cette situation pourrait engendrer pour la continuité du service de propreté urbaine, l’opposition a estimé que la gestion directe constitue, à ce stade, l’option la plus appropriée. Cette approche reposerait notamment sur la récupération des équipements et des camions qui reviendront à la commune à l’issue du contrat, ainsi que sur la mobilisation des cadres techniques et des agents actuellement en poste, afin d’assurer la continuité du service, de maîtriser les dépenses et d’améliorer la qualité des prestations.
Dans une perspective de solutions durables, l’opposition a également évoqué la possibilité de créer, à moyen terme, une société de développement local, présentée comme une option complémentaire susceptible d’assurer une meilleure gouvernance du secteur, à travers le renforcement du contrôle public, de l’efficacité de la gestion et du principe de reddition des comptes.
Selon l’opposition, cette approche permettrait de dégager des marges financières pouvant être réinvesties dans l’acquisition de matériel, l’amélioration des conditions de travail et la création d’emplois stables au profit des habitants de la province.
Les composantes de l’opposition ont enfin salué les efforts du gouverneur de la province de Sidi Bennour, mettant en avant sa disponibilité au dialogue, son sens de l’écoute et son interaction avec les différents acteurs, soulignant l’importance du dialogue institutionnel dans le traitement des dossiers d’intérêt local.
Mohamed LOKHNATI






















