Parmi les 12 personnes qui se trouvaient à bord du voilier, le Madleen, un Français a accepté d'être expulsé dès mardi tandis que cinq autres ont décliné dans l'attente d'une décision de justice, a annoncé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.
Le voilier avec à son bord 12 militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, était parti d'Italie le 1er juin pour "briser le blocus israélien" de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois de guerre.
La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l'ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.
Les passagers du bateau ont été conduits mardi à l'aéroport Ben Gourion en vue de leur rapatriement, selon le ministère israélien des Affaires étrangères.
"Ceux qui refusent de signer les documents d'expulsion et de quitter Israël seront traduits devant une autorité judiciaire, conformément à la loi israélienne, pour autoriser leur expulsion", a indiqué le ministère sur son compte X, ajoutant que les militants avaient rencontré à l'aéroport les consuls de leurs pays respectifs.
Greta Thunberg se trouve à bord d'un avion qui a décollé pour la Suède via la France, a annoncé mardi matin le ministère sur X, où il a publié une photo de la militante suédoise assise sur un siège passager.
Outre Greta Thunberg, l'eurodéputée franco-palestinienne de gauche Rima Hassan figure aussi dans le groupe, ainsi que deux journalistes.
Le voilier avec à son bord 12 militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, était parti d'Italie le 1er juin pour "briser le blocus israélien" de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois de guerre.
La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l'ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.
Les passagers du bateau ont été conduits mardi à l'aéroport Ben Gourion en vue de leur rapatriement, selon le ministère israélien des Affaires étrangères.
"Ceux qui refusent de signer les documents d'expulsion et de quitter Israël seront traduits devant une autorité judiciaire, conformément à la loi israélienne, pour autoriser leur expulsion", a indiqué le ministère sur son compte X, ajoutant que les militants avaient rencontré à l'aéroport les consuls de leurs pays respectifs.
Greta Thunberg se trouve à bord d'un avion qui a décollé pour la Suède via la France, a annoncé mardi matin le ministère sur X, où il a publié une photo de la militante suédoise assise sur un siège passager.
Outre Greta Thunberg, l'eurodéputée franco-palestinienne de gauche Rima Hassan figure aussi dans le groupe, ainsi que deux journalistes.
Macron suit la situation sans condamner l’arrestation illégale
Les six militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d'un bateau dont le but était de briser le blocus de Gaza ont reçu la visite de diplomates français, et l'un d'eux a accepté d'être expulsé dès ce mardi, a annoncé le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.
"Un de nos compatriotes a choisi de signer le formulaire israélien acceptant son expulsion accompagnée sans attendre la décision de justice. Il devrait regagner la France dès aujourd'hui. Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours", a dit le ministre.
Le ministre n'a pas donné de précision sur l'identité du Français qui sera immédiatement expulsé. L'eurodéputée LFI Rima Hassan fait partie des personnalités qui étaient à bord du navire, comme l'activiste suédoise Greta Thunberg.
Pour sa part, le président français Emmanuel Macron a assuré, lundi à l’issue de la Conférence des Nations Unies sur l’Océan, ouverte à Nice, que la France suivait avec attention la situation des six ressortissants français, dont une députée européenne, qui se trouvaient à bord de la Flotille de la liberté, interceptée par Israël dans les eaux internationales en direction de Gaza la nuit dernière.
Macron, qui n’a pas qualifié l’arrestation "d’illégale", a affirmé que le Quai d'Orsay avait pris toutes les mesures nécessaires pour garantir la protection des citoyens français concernés.
