Tenue les 16 et 17 décembre 2025 à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech, cette rencontre, placée sous le thème « Pour un enseignement supérieur africain harmonisé, innovant, inclusif et de qualité », a réuni des responsables institutionnels, des experts et des acteurs de l’enseignement supérieur issus de plusieurs pays africains. Les travaux ont été rythmés par des présentations thématiques, des séminaires de haut niveau et de riches échanges d’expériences, mettant en lumière les bonnes pratiques et les défis communs en matière d’assurance qualité.
La rencontre a également été marquée par la signature d’accords de coopération, traduisant la volonté des institutions participantes de renforcer la convergence des systèmes d’enseignement supérieur et de promouvoir des standards africains partagés en matière de qualité, d’innovation et d’inclusion.
En parallèle, l’UNESCO a organisé la 3ᵉ Réunion ordinaire du Comité de la Convention d’Addis-Abeba, tenue les 17 et 18 décembre 2025. Cette réunion a consolidé les efforts régionaux en faveur de la reconnaissance des qualifications de l’enseignement supérieur en Afrique, contribuant ainsi à la mobilité académique, à l’employabilité des diplômés et à l’intégration des systèmes éducatifs africains.
L’ensemble de ces travaux a confirmé l’importance du dialogue, de la coopération et de la coordination entre les acteurs africains de l’enseignement supérieur, en vue de bâtir un espace académique africain harmonisé, performant et durable.
La rencontre a également été marquée par la signature d’accords de coopération, traduisant la volonté des institutions participantes de renforcer la convergence des systèmes d’enseignement supérieur et de promouvoir des standards africains partagés en matière de qualité, d’innovation et d’inclusion.
En parallèle, l’UNESCO a organisé la 3ᵉ Réunion ordinaire du Comité de la Convention d’Addis-Abeba, tenue les 17 et 18 décembre 2025. Cette réunion a consolidé les efforts régionaux en faveur de la reconnaissance des qualifications de l’enseignement supérieur en Afrique, contribuant ainsi à la mobilité académique, à l’employabilité des diplômés et à l’intégration des systèmes éducatifs africains.
L’ensemble de ces travaux a confirmé l’importance du dialogue, de la coopération et de la coordination entre les acteurs africains de l’enseignement supérieur, en vue de bâtir un espace académique africain harmonisé, performant et durable.
Mohamed LOKHNATI
