En reconnaissant que la proposition d’autonomie présentée par le Maroc en 2007 constitue « la base la plus crédible, viable et pragmatique » pour résoudre le différend régional autour du Sahara, Londres ne se contente pas de prendre acte d’une dynamique. Elle s’y inscrit pleinement, à visage découvert, et s’en fait désormais l’un des relais les plus significatifs sur la scène internationale.
Plus qu’un appui diplomatique, il s’agit d’un positionnement stratégique assumé, porté par une puissance dotée d’un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Le Royaume-Uni ne se limite plus au langage prudent des résolutions onusiennes : il tranche, il soutient, et il s’engage, tant sur le plan politique qu’économique. Un alignement clair, sans ambiguïté, avec la vision portée par le Royaume du Maroc sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Un tournant géopolitique
Ce que dit le Royaume-Uni aujourd’hui, d’autres le penseront demain tout haut. Le plan marocain d’autonomie n’est plus une simple proposition parmi d’autres. Il est devenu, de l’aveu même des grandes capitales occidentales, le seul cadre sérieux, réaliste et applicable pour une issue durable à un conflit régional trop longtemps instrumentalisé.
En affirmant que la résolution de cette question renforcerait la stabilité en Afrique du Nord et relancerait l’intégration régionale, Londres reconnaît l’évidence : le statu quo n’est plus tenable, ni sur le plan sécuritaire, ni sur celui du développement régional. Et la solution ne viendra pas d’une chimère séparatiste déconnectée des réalités géopolitiques du XXIe siècle, mais d’un projet inclusif, modernisateur et conforme au droit international : celui de l’autonomie sous souveraineté marocaine.
La parole et l’action : un partenariat tourné vers l’avenir
Soutenir une solution politique, c’est bien. L’accompagner d’un engagement économique concret, c’est mieux. Le Royaume-Uni annonce dans ce communiqué une ouverture majeure : l’agence UK Export Finance est désormais disposée à financer des projets dans les provinces du Sud, dans le cadre d’un programme global de 5 milliards de livres sterling dédié au développement de projets économiques au Maroc.
Ce choix n’est pas anodin : investir dans le Sahara marocain, c’est reconnaître sa pleine intégration dans le tissu national, et par là même, contribuer à la consolidation de la paix par le développement. Londres, en cela, fait le choix d’une diplomatie lucide, où les principes ne s’opposent pas aux intérêts, mais les éclairent.
Une vision continentale partagée
Le communiqué ne s’arrête pas au Sahara. Il consacre la place du Maroc comme partenaire-clé du Royaume-Uni pour la croissance en Afrique. Loin des clichés du passé, Londres voit désormais en Rabat un acteur pivot, une passerelle stratégique vers un continent aux dynamiques économiques puissantes et à l’énorme potentiel de transformation.
Cette relecture de la relation maroco-britannique s’inscrit dans un contexte plus large, où l’Afrique cesse d’être perçue comme une périphérie en crise pour devenir le centre de gravité des équilibres à venir. Et dans cette vision, le Maroc — stable, réformateur, connecté à ses racines africaines et à ses partenariats mondiaux — est un allié précieux.
Le temps de la décision
Londres le dit sans détour : « il est grand temps de trouver une solution » à ce différend. L’appui à l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, est réaffirmé, mais dans une tonalité nouvelle. Moins patiente, plus pressante. Parce que le temps joue contre la stabilité, contre l’intégration régionale, contre les peuples.
En rejoignant le cercle des nations influentes qui soutiennent clairement le plan d’autonomie marocain — aux côtés des États-Unis, de l’Allemagne, de l’Espagne et de dizaines de pays africains, arabes et caribéens — le Royaume-Uni envoie un message fort au reste de la communauté internationale : le moment est venu de sortir de l’ambiguïté.
Un consensus mondial en marche
Ce communiqué est bien plus qu’un simple jalon diplomatique. Il marque l’enracinement d’un consensus mondial autour d’une solution politique juste, réaliste et durable. La proposition marocaine, longtemps marginalisée par des équilibres de façade, s’impose aujourd’hui comme le cadre de sortie de crise le plus consensuel et le plus opérationnel.
Ce basculement est le fruit d’une vision à long terme, conduite avec constance et intelligence par le Maroc. Il est aussi le signe que le réalisme diplomatique reprend ses droits, au service d’une paix durable et d’un avenir partagé. Le Royaume-Uni, en s’alignant ainsi, ne fait pas qu’accompagner un processus : il en accélère la marche.
Plus qu’un appui diplomatique, il s’agit d’un positionnement stratégique assumé, porté par une puissance dotée d’un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Le Royaume-Uni ne se limite plus au langage prudent des résolutions onusiennes : il tranche, il soutient, et il s’engage, tant sur le plan politique qu’économique. Un alignement clair, sans ambiguïté, avec la vision portée par le Royaume du Maroc sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Un tournant géopolitique
Ce que dit le Royaume-Uni aujourd’hui, d’autres le penseront demain tout haut. Le plan marocain d’autonomie n’est plus une simple proposition parmi d’autres. Il est devenu, de l’aveu même des grandes capitales occidentales, le seul cadre sérieux, réaliste et applicable pour une issue durable à un conflit régional trop longtemps instrumentalisé.
En affirmant que la résolution de cette question renforcerait la stabilité en Afrique du Nord et relancerait l’intégration régionale, Londres reconnaît l’évidence : le statu quo n’est plus tenable, ni sur le plan sécuritaire, ni sur celui du développement régional. Et la solution ne viendra pas d’une chimère séparatiste déconnectée des réalités géopolitiques du XXIe siècle, mais d’un projet inclusif, modernisateur et conforme au droit international : celui de l’autonomie sous souveraineté marocaine.
La parole et l’action : un partenariat tourné vers l’avenir
Soutenir une solution politique, c’est bien. L’accompagner d’un engagement économique concret, c’est mieux. Le Royaume-Uni annonce dans ce communiqué une ouverture majeure : l’agence UK Export Finance est désormais disposée à financer des projets dans les provinces du Sud, dans le cadre d’un programme global de 5 milliards de livres sterling dédié au développement de projets économiques au Maroc.
Ce choix n’est pas anodin : investir dans le Sahara marocain, c’est reconnaître sa pleine intégration dans le tissu national, et par là même, contribuer à la consolidation de la paix par le développement. Londres, en cela, fait le choix d’une diplomatie lucide, où les principes ne s’opposent pas aux intérêts, mais les éclairent.
Une vision continentale partagée
Le communiqué ne s’arrête pas au Sahara. Il consacre la place du Maroc comme partenaire-clé du Royaume-Uni pour la croissance en Afrique. Loin des clichés du passé, Londres voit désormais en Rabat un acteur pivot, une passerelle stratégique vers un continent aux dynamiques économiques puissantes et à l’énorme potentiel de transformation.
Cette relecture de la relation maroco-britannique s’inscrit dans un contexte plus large, où l’Afrique cesse d’être perçue comme une périphérie en crise pour devenir le centre de gravité des équilibres à venir. Et dans cette vision, le Maroc — stable, réformateur, connecté à ses racines africaines et à ses partenariats mondiaux — est un allié précieux.
Le temps de la décision
Londres le dit sans détour : « il est grand temps de trouver une solution » à ce différend. L’appui à l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, est réaffirmé, mais dans une tonalité nouvelle. Moins patiente, plus pressante. Parce que le temps joue contre la stabilité, contre l’intégration régionale, contre les peuples.
En rejoignant le cercle des nations influentes qui soutiennent clairement le plan d’autonomie marocain — aux côtés des États-Unis, de l’Allemagne, de l’Espagne et de dizaines de pays africains, arabes et caribéens — le Royaume-Uni envoie un message fort au reste de la communauté internationale : le moment est venu de sortir de l’ambiguïté.
Un consensus mondial en marche
Ce communiqué est bien plus qu’un simple jalon diplomatique. Il marque l’enracinement d’un consensus mondial autour d’une solution politique juste, réaliste et durable. La proposition marocaine, longtemps marginalisée par des équilibres de façade, s’impose aujourd’hui comme le cadre de sortie de crise le plus consensuel et le plus opérationnel.
Ce basculement est le fruit d’une vision à long terme, conduite avec constance et intelligence par le Maroc. Il est aussi le signe que le réalisme diplomatique reprend ses droits, au service d’une paix durable et d’un avenir partagé. Le Royaume-Uni, en s’alignant ainsi, ne fait pas qu’accompagner un processus : il en accélère la marche.
