« Never go to bed mad. Stay up and fight to the end. » Ce proverbe anglais trouvait bien un écho dans cette nuit d’orage au Giuseppe-Meazza, où le football s’est transformé en bataille, et les joueurs en héros d’une tragédie haletante.
L’Inter, portée par un stade en fusion, pensait avoir fait le plus dur en menant 2-0 à la pause. Mais le Barça, fidèle à son ADN fait de possession, de persévérance et surtout de tiki-taka, est revenu des limbes. Trois buts, une domination retrouvée, et un silence lourd dans le temple milanais… Jusqu’à cette 90e+3 minute où Francesco Acerbi a surgi pour égaliser et faire exploser les tribunes, ravivant les espoirs des Nerazzurri.
Alors que le doute planait encore, la Beneamata a écrit l’épilogue. Un quatrième but, en prolongation, a scellé le match et offerant à l’Inter son billet pour la finale de la Ligue des champions.
Ce soir, peu importe votre camp. Que vous portiez le blaugrana ou le noir et bleu, le football nous a offert une double confrontation légendaire, restera gravée à jamais dans l’histoire du jeu. Un affrontement d’âmes, de sueur et d’émotions, où ceux qui ont cru jusqu’au bout en leur rêve ont fini par triompher… d’un souffle.
L’Inter, portée par un stade en fusion, pensait avoir fait le plus dur en menant 2-0 à la pause. Mais le Barça, fidèle à son ADN fait de possession, de persévérance et surtout de tiki-taka, est revenu des limbes. Trois buts, une domination retrouvée, et un silence lourd dans le temple milanais… Jusqu’à cette 90e+3 minute où Francesco Acerbi a surgi pour égaliser et faire exploser les tribunes, ravivant les espoirs des Nerazzurri.
Alors que le doute planait encore, la Beneamata a écrit l’épilogue. Un quatrième but, en prolongation, a scellé le match et offerant à l’Inter son billet pour la finale de la Ligue des champions.
Ce soir, peu importe votre camp. Que vous portiez le blaugrana ou le noir et bleu, le football nous a offert une double confrontation légendaire, restera gravée à jamais dans l’histoire du jeu. Un affrontement d’âmes, de sueur et d’émotions, où ceux qui ont cru jusqu’au bout en leur rêve ont fini par triompher… d’un souffle.