Lundi dernier, 6 octobre 2025, les représentants des fédérations affiliés à la CAF, en conclave à Kinshasa, s’en sont rendus compte à travers du bilan financier exposé devant la 47ème assemblée générale ordinaire du mastodonte continental.
En effet, depuis la nomination de Lakjaâ à la tête de la Commission des Finances de la CAF, la trésorerie de cette institution ne cesse de progresser grâce au mode de gouvernance que l’homme a instauré.
Le résultat est aujourd’hui mirobolant, comme il ressort des comptes présentés aux assises à Kinshasa.
Jugez-en : les caisses ont été renflouées de 312,9 millions de dollars contre quelques dizaines de millions les années précédents, permettant ainsi de mettre fin à une comptabilité structurellement déficitaire.
Hausse des revenus mais également rationalité dans la gestion des dépenses qui ont totalisé 273,4 millions dollars d’où un excédent de 39,5 millions de dollars.
Un chiffre historique. La structure des revenus montre les efforts entrepris en matière de sponsoring qui a représenté 35% des recettes, attestant ainsi de l’intérêt que le football africain a commencé à susciter auprès des annonceurs internationaux.
Quant aux dépenses, 45% ont été affectées aux prize money et 20% au développement du football.
Cette embellie des finances de la CAF est le corolaire d’une gestion professionnelle qui a permis d’attirer des partenaires et sponsors de renom dont le nombre a atteint 16.
L’aisance en matière de trésorerie a permis de revaloriser les prize money pour les diverses compétitions.
Ainsi, la prime allouée au vainqueur de la Coupe de Ligue des Champions a été revue à la hausse pour s’établir à 4 millions de dollars.
Et ce n’est que le début car dès la saison prochaine, même les qualifiés aux tours préliminaires interclubs de la Coupe de la Confédération ou de la Ligue des Champions, bénéficieront d’une prime forfaitaire de 100 000 Dollars.
Autant dire que la CAF respire mieux là où elle suffoquait le plus des années durant.
Force est de reconnaitre également que la stratégie de redressement mise en place depuis 2021 suit un trend vertueux.
Cela trahit la pertinence de la conduite des affaires dans une institution qui aspire à rattraper le temps perdu et s’arrimer au football mondial.
Un enjeu qui est loin d’une chimère pour une équipe qui recèle un prodige du nom de Fouzi Lakjaâ, l’homme à la baguette magique.
En effet, depuis la nomination de Lakjaâ à la tête de la Commission des Finances de la CAF, la trésorerie de cette institution ne cesse de progresser grâce au mode de gouvernance que l’homme a instauré.
Le résultat est aujourd’hui mirobolant, comme il ressort des comptes présentés aux assises à Kinshasa.
Jugez-en : les caisses ont été renflouées de 312,9 millions de dollars contre quelques dizaines de millions les années précédents, permettant ainsi de mettre fin à une comptabilité structurellement déficitaire.
Hausse des revenus mais également rationalité dans la gestion des dépenses qui ont totalisé 273,4 millions dollars d’où un excédent de 39,5 millions de dollars.
Un chiffre historique. La structure des revenus montre les efforts entrepris en matière de sponsoring qui a représenté 35% des recettes, attestant ainsi de l’intérêt que le football africain a commencé à susciter auprès des annonceurs internationaux.
Quant aux dépenses, 45% ont été affectées aux prize money et 20% au développement du football.
Cette embellie des finances de la CAF est le corolaire d’une gestion professionnelle qui a permis d’attirer des partenaires et sponsors de renom dont le nombre a atteint 16.
L’aisance en matière de trésorerie a permis de revaloriser les prize money pour les diverses compétitions.
Ainsi, la prime allouée au vainqueur de la Coupe de Ligue des Champions a été revue à la hausse pour s’établir à 4 millions de dollars.
Et ce n’est que le début car dès la saison prochaine, même les qualifiés aux tours préliminaires interclubs de la Coupe de la Confédération ou de la Ligue des Champions, bénéficieront d’une prime forfaitaire de 100 000 Dollars.
Autant dire que la CAF respire mieux là où elle suffoquait le plus des années durant.
Force est de reconnaitre également que la stratégie de redressement mise en place depuis 2021 suit un trend vertueux.
Cela trahit la pertinence de la conduite des affaires dans une institution qui aspire à rattraper le temps perdu et s’arrimer au football mondial.
Un enjeu qui est loin d’une chimère pour une équipe qui recèle un prodige du nom de Fouzi Lakjaâ, l’homme à la baguette magique.
