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Lutte antiterroriste : La DGST aide la France à éviter un acte violent commis par des femmes


Mardi 6 Avril 2021

Cinq femmes soupçonnées de vouloir commettre un attentat ont été interpellées à Béziers dans la nuit de samedi à dimanche. Ces interpellations ont été effectuées par la DGSI sur la base d’informations transmises par la DGST.



Cinq femmes ont été interpellées dans la nuit de samedi à dimanche à Béziers, dont une soupçonnée d'avoir voulu commettre une action violente, a appris l'AFP de sources proche de l'enquête et judiciaire, confirmant une information du Point.

Ces interpellations ont été effectuées sur la base d’informations qui ont été transmises par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) à son homologue français, la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI).

D'après Le Point, ces interpellations ont été réalisées «dans le quartier populaire de La Dévèze», au sud-est de Béziers.

L'hebdomadaire a également indiqué, citant une source locale, que ces femmes «étaient connues pour être radicalisées et, concernant certaines d'entre elles, pour avoir visionné des vidéos» du groupe Etat islamique.

Même si les actions terroristes d'inspiration jihadiste sont très majoritairement perpétrées par des hommes, des femmes ont déjà été condamnées en France pour de tels actes.

Quatre femmes devenues le «visage du jihad au féminin» selon le parquet antiterroriste à l'époque, dont Ornella Gilligmann et Inès Madani qui avaient tenté de faire exploser une voiture près de Notre-Dame de Paris en 2016, avaient ainsi été condamnées en 2019 à des peines allant jusqu'à 30 ans de réclusion criminelle.

Le procès en appel d'Inès Madani et de Mohamed Lamine Aberouz doit se tenir en mai à Paris.








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