Ce projet structurant, d’un investissement global de 40,29 millions de dirhams, s’inscrit dans la stratégie nationale de sécurisation de l’accès à l’eau potable en milieu rural. Il vise à desservir près de 55 000 habitants, grâce à la réalisation de cinq forages d’une capacité cumulée de 68 litres/seconde, et à la mise en service de trois unités intégrées de déminéralisation pouvant produire 45 litres/seconde.
Au-delà de l’impact immédiat sur l’approvisionnement des ménages, l’initiative illustre l’orientation des pouvoirs publics vers des solutions techniques durables face à la raréfaction des ressources hydriques traditionnelles et aux pressions climatiques. Le recours au dessalement des eaux souterraines, encore marginal au Maroc, marque une étape dans la diversification des sources d’alimentation en eau, en complément des barrages et des adductions interrégionales.
Le complexe de Jnane Bouih est présenté comme un projet pilote pour l’ensemble de la province, susceptible d’être reproduit dans d’autres communes confrontées à des déficits chroniques. Les autorités locales mettent en avant la contribution de cette infrastructure à la résilience hydrique et à la réduction des disparités territoriales en matière d’accès à l’eau potable.
Au-delà de l’impact immédiat sur l’approvisionnement des ménages, l’initiative illustre l’orientation des pouvoirs publics vers des solutions techniques durables face à la raréfaction des ressources hydriques traditionnelles et aux pressions climatiques. Le recours au dessalement des eaux souterraines, encore marginal au Maroc, marque une étape dans la diversification des sources d’alimentation en eau, en complément des barrages et des adductions interrégionales.
Le complexe de Jnane Bouih est présenté comme un projet pilote pour l’ensemble de la province, susceptible d’être reproduit dans d’autres communes confrontées à des déficits chroniques. Les autorités locales mettent en avant la contribution de cette infrastructure à la résilience hydrique et à la réduction des disparités territoriales en matière d’accès à l’eau potable.
Mohamed LOKHNATI





















