Dans une déclaration à la MAP, M. Ouali Alami a indiqué que "les actes de vandalisme, d'incendie et de violence ayant touché les biens publics et privés et attenté à l'intégrité physique des personnes suite aux manifestations non autorisées, n'ont rien à voir avec une quelconque forme de liberté d'expression, mais sont des actes criminels sanctionnés, en vertu du Code pénal, par de lourdes peines variant entre 10 et 20 ans de prison et pouvant aller jusqu'à 30 ans voire, dans certains cas, la perpétuité s'ils sont associés à des circonstances aggravantes".
Les événements susmentionnés portent essentiellement atteinte à la sécurité et à la sûreté des citoyens et à leurs biens, a affirmé le responsable, précisant que la loi doit être fermement appliquée dans ce cadre, afin de protéger leur sécurité et leur quiétude.
Les événements susmentionnés portent essentiellement atteinte à la sécurité et à la sûreté des citoyens et à leurs biens, a affirmé le responsable, précisant que la loi doit être fermement appliquée dans ce cadre, afin de protéger leur sécurité et leur quiétude.