
Les opérations de contrôle aux frontières menées à l'aéroport ont conduit à l'arrestation de trois Iraniens accusés d'avoir tenté de migrer illégalement vers un aéroport espagnol avec de faux documents de voyage, selon une méthode criminelle d'enregistrement frauduleux sur plusieurs vols.
Les investigations menées ont également permis l'arrestation de quatre Bulgares, présumés impliqués dans la planification de cette tentative d'immigration clandestine, indique un communiqué publié mercredi par la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
L'instruction de cette affaire a été confiée à la Brigade nationale de la Police judiciaire (BNPJ), sous la supervision du Parquet compétent, afin de déterminer les ramifications internationales de ce réseau ainsi que ses jonctions avec les réseaux européens et asiatiques d’immigration illégale et de traite des êtres humains, précise la même source.
Le DGSN ajoute que les perquisitions menées dans cette affaire ont abouti à la confiscation de plusieurs faux documents de voyage, cartes d'embarquement et téléphones portables équipés de cartes SIM internationales pour faciliter la communication entre les membres du réseau et les candidats à l'immigration lors des opérations de transit.
Tous les prévenus ont été placés en garde à vue pour les besoins de l'enquête menée par le bureau national de lutte contre l’immigration illégale, affilié à la BNPJ, sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer toutes les ramifications régionales et internationales de ce réseau criminel, conclut la DGSN.
Les investigations menées ont également permis l'arrestation de quatre Bulgares, présumés impliqués dans la planification de cette tentative d'immigration clandestine, indique un communiqué publié mercredi par la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
L'instruction de cette affaire a été confiée à la Brigade nationale de la Police judiciaire (BNPJ), sous la supervision du Parquet compétent, afin de déterminer les ramifications internationales de ce réseau ainsi que ses jonctions avec les réseaux européens et asiatiques d’immigration illégale et de traite des êtres humains, précise la même source.
Le DGSN ajoute que les perquisitions menées dans cette affaire ont abouti à la confiscation de plusieurs faux documents de voyage, cartes d'embarquement et téléphones portables équipés de cartes SIM internationales pour faciliter la communication entre les membres du réseau et les candidats à l'immigration lors des opérations de transit.
Tous les prévenus ont été placés en garde à vue pour les besoins de l'enquête menée par le bureau national de lutte contre l’immigration illégale, affilié à la BNPJ, sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer toutes les ramifications régionales et internationales de ce réseau criminel, conclut la DGSN.