L’objectif, au-delà de la volonté de rompre avec le désordre saisonnier, est d’imposer une logique d’organisation rigoureuse et équitable dans l’exploitation des plages, à la hauteur de l’image d’Agadir en tant que destination touristique nationale de premier plan.
Cet été s’annonce donc hors du commun. Les plages, d’Agadir jusqu’à Imsouane, n’accueilleront les vacanciers qu’à la condition expresse du respect d’une règlementation stricte, dans un esprit de fermeté vis-à-vis des abus, afin de mettre un terme à l’exploitation anarchique du domaine public maritime. Des consignes précises ont été transmises à l’ensemble des intervenants (autorités locales, forces de l’ordre, services communaux) pour mettre en œuvre un plan structuré intégrant les dimensions règlementaire, environnementale et sécuritaire. La directive est claire : "zéro chaos".
La gestion actuelle de la saison estivale se distingue ainsi par le passage d’une logique temporaire et improvisée à une approche globale, pérenne et conforme à la loi, où l’intérêt des citoyens comme des visiteurs est désormais placé au cœur des priorités. Pour la première fois, les plages sont encadrées par une règlementation stricte interdisant toute exploitation illégale du domaine public et sanctionnant fermement l’occupation non autorisée des zones côtières à des fins commerciales.
Plus de parasols sauvages, plus de chaises ou de locations illicites, ni vélos, ni chameaux, ni skateboards envahissant les allées et aires de repos. Toute activité commerciale non conforme est désormais proscrite. Ce dispositif est placé sous la surveillance étroite des autorités provinciales, en coordination directe avec la Sûreté nationale, la Gendarmerie Royale et les Forces Auxiliaires, selon notre confrère **[www.sabahagadir.ma](http://www.sabahagadir.ma)**.
Le défi porté par le Wali Said Amzazi dépasse les seules préoccupations sécuritaires ou juridiques. Il s'inscrit dans une vision élargie intégrant les dimensions environnementales et esthétiques, fondée sur la propreté, l’aménagement des plages et l’harmonisation entre le droit au loisir et l’exigence d’un ordre public respecté et sécurisé.
Des actions concrètes ont déjà démarré sur les plages de la préfecture d’Agadir-Ida Outanane. Plusieurs sites balnéaires, notamment à Aourir, Taghazout, Imi Ouaddar et Agadir, ont fait l’objet d’interventions soutenues des autorités locales : retrait des équipements non autorisés (parasols, chaises, panneaux), saisie du matériel illicite, et nettoyage intensif des espaces côtiers.
Cette dynamique a été renforcée par une réunion élargie réunissant les différentes parties concernées. Les principales orientations y ont été définies : découpage organisé des espaces balnéaires, introduction du concept de « partenaire » pour la gestion des services, et renforcement des volets environnemental et sécuritaire. L’ensemble s’inscrit dans une vision intégrée garantissant un été sous le signe de l’ordre, de la sécurité, et de la qualité.
Cet été s’annonce donc hors du commun. Les plages, d’Agadir jusqu’à Imsouane, n’accueilleront les vacanciers qu’à la condition expresse du respect d’une règlementation stricte, dans un esprit de fermeté vis-à-vis des abus, afin de mettre un terme à l’exploitation anarchique du domaine public maritime. Des consignes précises ont été transmises à l’ensemble des intervenants (autorités locales, forces de l’ordre, services communaux) pour mettre en œuvre un plan structuré intégrant les dimensions règlementaire, environnementale et sécuritaire. La directive est claire : "zéro chaos".
La gestion actuelle de la saison estivale se distingue ainsi par le passage d’une logique temporaire et improvisée à une approche globale, pérenne et conforme à la loi, où l’intérêt des citoyens comme des visiteurs est désormais placé au cœur des priorités. Pour la première fois, les plages sont encadrées par une règlementation stricte interdisant toute exploitation illégale du domaine public et sanctionnant fermement l’occupation non autorisée des zones côtières à des fins commerciales.
Plus de parasols sauvages, plus de chaises ou de locations illicites, ni vélos, ni chameaux, ni skateboards envahissant les allées et aires de repos. Toute activité commerciale non conforme est désormais proscrite. Ce dispositif est placé sous la surveillance étroite des autorités provinciales, en coordination directe avec la Sûreté nationale, la Gendarmerie Royale et les Forces Auxiliaires, selon notre confrère **[www.sabahagadir.ma](http://www.sabahagadir.ma)**.
Le défi porté par le Wali Said Amzazi dépasse les seules préoccupations sécuritaires ou juridiques. Il s'inscrit dans une vision élargie intégrant les dimensions environnementales et esthétiques, fondée sur la propreté, l’aménagement des plages et l’harmonisation entre le droit au loisir et l’exigence d’un ordre public respecté et sécurisé.
Des actions concrètes ont déjà démarré sur les plages de la préfecture d’Agadir-Ida Outanane. Plusieurs sites balnéaires, notamment à Aourir, Taghazout, Imi Ouaddar et Agadir, ont fait l’objet d’interventions soutenues des autorités locales : retrait des équipements non autorisés (parasols, chaises, panneaux), saisie du matériel illicite, et nettoyage intensif des espaces côtiers.
Cette dynamique a été renforcée par une réunion élargie réunissant les différentes parties concernées. Les principales orientations y ont été définies : découpage organisé des espaces balnéaires, introduction du concept de « partenaire » pour la gestion des services, et renforcement des volets environnemental et sécuritaire. L’ensemble s’inscrit dans une vision intégrée garantissant un été sous le signe de l’ordre, de la sécurité, et de la qualité.
