
Dans un nouveau communiqué, le CSPM a appelé les pharmaciens à manifester massivement devant le Ministère de la Santé le mardi 9 septembre 2025 à 12h00, et ce en protestation contre la situation financière et juridique précaire des officines du pays.
En ligne de mire se trouve notamment le projet de décret sur la tarification des médicaments, que le président du CSPM, Mohammed Lahbabi, estime « aggraver la vulnérabilité des pharmacies, en imposant de nouveaux prix sans mettre en œuvre de mesures d'accompagnement ni de réformes parallèles », selon le communiqué parvenu à L’Opinion.
Le cadre légal en vigueur, qui n’a pas été mis à jour depuis des décennies, exposent les pharmaciens à « de poursuites judiciaires en vertu de lois vieilles de plusieurs décennies qui criminalisent les pratiques professionnelles ordinaires et les placent dans une situation de vulnérabilité persistante ». Lahbabi déplore conjointement « l'absence de volonté politique de renouveler l'arsenal juridique pour refléter les réalités actuelles ».
Le président porte la responsabilité de la réglementation les pratiques de monopole, la vente généralisée de médicaments hors du circuit légal et les fréquentes pénuries de médicaments sur le marché national au Ministère et à son « incapacité à engager une réforme du secteur depuis plus de 15 ans ».
Cette manifestation marquera un nouvel épisode de confrontation du Ministère de la Santé avec les pharmaciens qui s’estiment exclus des débats sur la mise à jour de la tarification nationale de référence, héritée dans sa forme actuelle depuis près de deux décennies.
En ligne de mire se trouve notamment le projet de décret sur la tarification des médicaments, que le président du CSPM, Mohammed Lahbabi, estime « aggraver la vulnérabilité des pharmacies, en imposant de nouveaux prix sans mettre en œuvre de mesures d'accompagnement ni de réformes parallèles », selon le communiqué parvenu à L’Opinion.
Le cadre légal en vigueur, qui n’a pas été mis à jour depuis des décennies, exposent les pharmaciens à « de poursuites judiciaires en vertu de lois vieilles de plusieurs décennies qui criminalisent les pratiques professionnelles ordinaires et les placent dans une situation de vulnérabilité persistante ». Lahbabi déplore conjointement « l'absence de volonté politique de renouveler l'arsenal juridique pour refléter les réalités actuelles ».
Le président porte la responsabilité de la réglementation les pratiques de monopole, la vente généralisée de médicaments hors du circuit légal et les fréquentes pénuries de médicaments sur le marché national au Ministère et à son « incapacité à engager une réforme du secteur depuis plus de 15 ans ».
Cette manifestation marquera un nouvel épisode de confrontation du Ministère de la Santé avec les pharmaciens qui s’estiment exclus des débats sur la mise à jour de la tarification nationale de référence, héritée dans sa forme actuelle depuis près de deux décennies.