Avec un score de 85,1 points sur 100, le Maroc dépasse la moyenne mondiale située à 72,8 sur 100, ainsi que la moyenne en l’Afrique située à 47,4. Le pays arrive donc en tête des pays de l’Afrique en termes de développement des technologies de l’information et de la communication, évalué par l’index sur le développement des TIC établi par l’Union internationale des télécommunications (UIT).
Le Royaume devance, ainsi, l’Île Maurice (81,7) et les Seychelles (80,9), l’Afrique du Sud (80,5) et la Libye (79,4) et arrive après la Finlande (98,1), le Danemark (98,2), le Qatar (98,7), les États-Unis (99,1) et les Émirats Arabes Unis qui cumulent 100 points.
Il a obtenu de bons scores dans l’évaluation du prix des données mobiles et des services voix, le pourcentage de particuliers utilisant internet, le taux de pénétration de la téléphonie mobile à large bande, le trafic internet à large bande mobile (en gigaoctets par abonnement), ainsi que le taux de possession de téléphones mobiles.
Dans le détail, le Maroc trône en Afrique notamment grâce à un taux de pénétration de 99,3% pour la 3G et 99,1% pour la 4G, au pourcentage de particuliers utilisant internet (88,1%) et au pourcentage des ménages disposant d’un accès à internet à domicile (86,2%).
Selon les données de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), le Maroc comptait un total de 54,11 millions d’abonnés à la téléphonie mobile à fin juin 2023 (soit une hausse de 5% par rapport à la même période en 2022), dont 36,61 millions d’abonnés à internet.
D’ailleurs, ce score important est dû en une grande partie aux investissements menés par le Royaume lors de ces dernières années. En effet, le Maroc a été le premier pays africain à adopter la technologie 3G, et il se prépare d’ores et déjà pour la transition vers la 5G, qui n’a pas encore été introduite.
D’autre part, le Maroc a fait d’importants investissements pour l’amélioration de l’accès à Internet et des infrastructures télécoms, ce qui lui a valu, en 2021, la position du deuxième pays en matière de « transformation numérique » en Afrique, juste derrière l’Afrique du Sud.
Le pays a mis en place un fonds spécial pour relier les endroits où il n’y a pas beaucoup de population, notamment les zones rurales. Selon la ministre déléguée auprès du chef du gouvernement chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, Ghita Mezzour, ce fond a permis de couvrir en internet 96% des localités qui n’avaient aucune couverture internet ou une faible couverture internet.
Le Royaume devance, ainsi, l’Île Maurice (81,7) et les Seychelles (80,9), l’Afrique du Sud (80,5) et la Libye (79,4) et arrive après la Finlande (98,1), le Danemark (98,2), le Qatar (98,7), les États-Unis (99,1) et les Émirats Arabes Unis qui cumulent 100 points.
Il a obtenu de bons scores dans l’évaluation du prix des données mobiles et des services voix, le pourcentage de particuliers utilisant internet, le taux de pénétration de la téléphonie mobile à large bande, le trafic internet à large bande mobile (en gigaoctets par abonnement), ainsi que le taux de possession de téléphones mobiles.
Dans le détail, le Maroc trône en Afrique notamment grâce à un taux de pénétration de 99,3% pour la 3G et 99,1% pour la 4G, au pourcentage de particuliers utilisant internet (88,1%) et au pourcentage des ménages disposant d’un accès à internet à domicile (86,2%).
Selon les données de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), le Maroc comptait un total de 54,11 millions d’abonnés à la téléphonie mobile à fin juin 2023 (soit une hausse de 5% par rapport à la même période en 2022), dont 36,61 millions d’abonnés à internet.
D’ailleurs, ce score important est dû en une grande partie aux investissements menés par le Royaume lors de ces dernières années. En effet, le Maroc a été le premier pays africain à adopter la technologie 3G, et il se prépare d’ores et déjà pour la transition vers la 5G, qui n’a pas encore été introduite.
D’autre part, le Maroc a fait d’importants investissements pour l’amélioration de l’accès à Internet et des infrastructures télécoms, ce qui lui a valu, en 2021, la position du deuxième pays en matière de « transformation numérique » en Afrique, juste derrière l’Afrique du Sud.
Le pays a mis en place un fonds spécial pour relier les endroits où il n’y a pas beaucoup de population, notamment les zones rurales. Selon la ministre déléguée auprès du chef du gouvernement chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, Ghita Mezzour, ce fond a permis de couvrir en internet 96% des localités qui n’avaient aucune couverture internet ou une faible couverture internet.