Suite aux derniers épisodes de sécheresse qui ont frappé le Maroc, les agriculteurs n'ont pu bénéficier que d'un milliard de m3 d'eau pour l'irrigation de leurs terres en 2023 contre une moyenne se situant entre 3 et 5 milliards de m3 d'eau avant 2021, a reconnu le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadikki.
“ Chaque pays produit dans la limite des ressources qu’il dispose. Dans une année normale, le Maroc peut produire jusqu’à 15 millions de quintaux de blé, comblant près de 80% du besoin national”, a rappelé Sadikki , notant qu’” en principe, sur les 4,5 millions d'hectares dédiés à la céréaliculture, près de 350.000 sont sous l’irrigation de complément, en cette année sèche. Nous espérons atteindre, à moyen terme, un million d’hectares”, a affirmé le ministre.
Grâce à la mise en œuvre de la stratégie génération Green, un nouveau contrat-programme a été signé avec les professionnels du secteur céréalier pour une enveloppe budgétaire estimée à 7,3 milliards de dirhams, s’étalant sur dix ans, dont 6.2 % de l’Etat. Ce contrat concerne les différentes étapes de la culture, a précisé le responsable. L’objectif global étant de booster la production nationale et d’accroitre les recettes agricoles, mais aussi d’étendre les surfaces dédiés à la culture céréalière.
Interrogé par la même occasion sur la filière sucrière, estimée à 591.000 tonnes par la tutelle, Sadikki a affirmé que la production nationale a permis de combler 65% du besoin national.
Pour rappel, le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas avait expliqué que le gouvernement a mobilisé plus de 8,5 milliards de dirhams en soutien aux ménages, pour pouvoir acquérir des produits de première nécessité tels que la farine. Ainsi, a-t-il dit, pour chaque pain vendu 1,20 dirham, l’Etat débourse 1 dirham pour maintenir le prix de vente inchangé.
“ Chaque pays produit dans la limite des ressources qu’il dispose. Dans une année normale, le Maroc peut produire jusqu’à 15 millions de quintaux de blé, comblant près de 80% du besoin national”, a rappelé Sadikki , notant qu’” en principe, sur les 4,5 millions d'hectares dédiés à la céréaliculture, près de 350.000 sont sous l’irrigation de complément, en cette année sèche. Nous espérons atteindre, à moyen terme, un million d’hectares”, a affirmé le ministre.
Grâce à la mise en œuvre de la stratégie génération Green, un nouveau contrat-programme a été signé avec les professionnels du secteur céréalier pour une enveloppe budgétaire estimée à 7,3 milliards de dirhams, s’étalant sur dix ans, dont 6.2 % de l’Etat. Ce contrat concerne les différentes étapes de la culture, a précisé le responsable. L’objectif global étant de booster la production nationale et d’accroitre les recettes agricoles, mais aussi d’étendre les surfaces dédiés à la culture céréalière.
Interrogé par la même occasion sur la filière sucrière, estimée à 591.000 tonnes par la tutelle, Sadikki a affirmé que la production nationale a permis de combler 65% du besoin national.
Pour rappel, le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas avait expliqué que le gouvernement a mobilisé plus de 8,5 milliards de dirhams en soutien aux ménages, pour pouvoir acquérir des produits de première nécessité tels que la farine. Ainsi, a-t-il dit, pour chaque pain vendu 1,20 dirham, l’Etat débourse 1 dirham pour maintenir le prix de vente inchangé.