Dans communiqué national publié à l'intention des professeurs agrégés au Maroc, le syndicat décrit le nouveau statut unifié des fonctionnaires de l’Education nationale comme « régressif, inquiétant et injuste, et qu’il ne répondait pas aux justes revendications minimales de cette catégorie ».
Les revendications des professeurs , selon le même communiqué, se résument dans « la nécessité de respecter les exigences du dossier d'exigences du corps académique, objet de l'accord du 19 avril 2011, représenté par la création d'un nouveau degré, et fixant les horaires de travail des professeurs agrégés de l'école secondaire à 14 heures par semaine et 12 heures dans les filières post-baccalauréat, ainsi que la délivrance d'un diplôme spécial pour le corps agrégé, avec une révision de leurs notes de mouvement de transition et une inscription au cycle doctoral.
Par ailleurs, ces professeurs ont appelé à « édicter un statut juste et équitable en augmentant la rémunération du cadre et en la comptant à la retraite, tout en leur donnant la priorité dans la nomination aux centres régionaux des métiers de l’éducation et de la formation ».
Les revendications des professeurs , selon le même communiqué, se résument dans « la nécessité de respecter les exigences du dossier d'exigences du corps académique, objet de l'accord du 19 avril 2011, représenté par la création d'un nouveau degré, et fixant les horaires de travail des professeurs agrégés de l'école secondaire à 14 heures par semaine et 12 heures dans les filières post-baccalauréat, ainsi que la délivrance d'un diplôme spécial pour le corps agrégé, avec une révision de leurs notes de mouvement de transition et une inscription au cycle doctoral.
Par ailleurs, ces professeurs ont appelé à « édicter un statut juste et équitable en augmentant la rémunération du cadre et en la comptant à la retraite, tout en leur donnant la priorité dans la nomination aux centres régionaux des métiers de l’éducation et de la formation ».