"Ce nouveau dispositif vise à appuyer les TPE et les accompagner sur plusieurs volets, tels quel les loyers, la comptabilité ou l’acquisition de matériel professionnel, avec un objectif de 110.000 bénéficiaires"¸a fait savoir M.Sekkouri, qui intervenait lors de la première édition du Carrefour de la Très Petite et Moyenne Entreprise (TPME), placée sous le thème "Inspirer pour transformer", à l'initiative de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM).
Dans ce sens, il a mis en avant la nécessité de renforcer les mécanismes de leadership, de médiation et de circulation de l’information en faveur des TPME, relevant que certaines TPME font encore face à des réponses parfois inadaptées de la part des institutions bancaires, en raison d’une méconnaissance de leurs particularités.
Ainsi, il a insisté sur la nécessité de mettre en place un système de garantie plus efficace et réactif, capable de détecter rapidement les difficultés rencontrées et d’y apporter des solutions engagées.
Sur le plan du financement, le ministre a reconnu que, malgré l’existence de dispositifs de garantie mis en place par l’État, de nombreux jeunes entrepreneurs continuent de rencontrer des obstacles pour y accéder.
À ce titre, une commission conjointe avec le ministère de l’Économie et des Finances a été mis en place pour engager une concertation approfondie avec les banques en vue d’identifier des solutions concrètes à cette problématique, a-t-il affirmé.
Abordant la question de la simplification administrative, le ministre a souligné l’urgence de réformer le système des autorisations à caractère commercial et administratif, estimant qu’il constitue un frein au développement des TPME.
A cet effet, il a plaidé pour une migration vers un modèle fondé sur les cahiers des charges, "plus souple et mieux adapté à la réalité économique", notant que ce chantier stratégique est déjà entamé, en étroite coordination avec plusieurs équipes de travail, dans l’objectif de libérer le potentiel entrepreneurial, en particulier celui des jeunes.
Parallèlement, il a fait savoir qu'une refonte en profondeur des programmes de l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) est en cours, notamment en faveur des jeunes sans diplôme.
Revenant sur le nouveau Code du travail, M.Sekkouri a affirmé qu’il sera finalisé d’ici la fin de l’année selon une démarche pragmatique en concertation avec les différents partenaires sociaux.
"Ce nouveau code encadrera pour la première fois le travail à distance et le travail partiel, ouvrant de nouvelles opportunités professionnelles", a-t-il souligné.
Au menu de cette rencontre figurent une série de témoignages inspirants de chefs d’entreprise, suivis d’un panel d’entrepreneurs issus de secteurs variés (industrie, innovation et technologie) qiu ont échangé sur les réalités du terrain : les étapes de lancement, les obstacles du quotidien, les besoins en financement, la gestion des équipes et la transition numérique.
Cette édition a été marquée également par la tenue de deux masterclass. La première, répondant aux problématiques de financement rencontrées par les TPME et les solutions disponibles sur le marché, tandis que la seconde a fourni aux TPME des outils pour répondre aux enjeux de l’intelligence artificielle et en saisir les opportunités.
À travers cette première édition du Carrefour de la TPME, la CGEM a réaffirmé sa volonté de faire de la petite entreprise un levier central de création de richesse et d’emploi, en favorisant l’écoute, le dialogue, la montée en compétence et l’inspiration.
À noter que la TPME représente 95% des membres de la CGEM sur l’ensemble du territoire national. En plus du plaidoyer mené par la Confédération, cette dernière offre des services concrets et utiles pour cette catégorie d’entreprises, notamment les corridors établis avec les institutions publiques clés et des initiatives d’accompagnement et de montée en compétences des chefs d’entreprise.
Dans ce sens, il a mis en avant la nécessité de renforcer les mécanismes de leadership, de médiation et de circulation de l’information en faveur des TPME, relevant que certaines TPME font encore face à des réponses parfois inadaptées de la part des institutions bancaires, en raison d’une méconnaissance de leurs particularités.
Ainsi, il a insisté sur la nécessité de mettre en place un système de garantie plus efficace et réactif, capable de détecter rapidement les difficultés rencontrées et d’y apporter des solutions engagées.
Sur le plan du financement, le ministre a reconnu que, malgré l’existence de dispositifs de garantie mis en place par l’État, de nombreux jeunes entrepreneurs continuent de rencontrer des obstacles pour y accéder.
À ce titre, une commission conjointe avec le ministère de l’Économie et des Finances a été mis en place pour engager une concertation approfondie avec les banques en vue d’identifier des solutions concrètes à cette problématique, a-t-il affirmé.
Abordant la question de la simplification administrative, le ministre a souligné l’urgence de réformer le système des autorisations à caractère commercial et administratif, estimant qu’il constitue un frein au développement des TPME.
A cet effet, il a plaidé pour une migration vers un modèle fondé sur les cahiers des charges, "plus souple et mieux adapté à la réalité économique", notant que ce chantier stratégique est déjà entamé, en étroite coordination avec plusieurs équipes de travail, dans l’objectif de libérer le potentiel entrepreneurial, en particulier celui des jeunes.
Parallèlement, il a fait savoir qu'une refonte en profondeur des programmes de l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC) est en cours, notamment en faveur des jeunes sans diplôme.
Revenant sur le nouveau Code du travail, M.Sekkouri a affirmé qu’il sera finalisé d’ici la fin de l’année selon une démarche pragmatique en concertation avec les différents partenaires sociaux.
"Ce nouveau code encadrera pour la première fois le travail à distance et le travail partiel, ouvrant de nouvelles opportunités professionnelles", a-t-il souligné.
Au menu de cette rencontre figurent une série de témoignages inspirants de chefs d’entreprise, suivis d’un panel d’entrepreneurs issus de secteurs variés (industrie, innovation et technologie) qiu ont échangé sur les réalités du terrain : les étapes de lancement, les obstacles du quotidien, les besoins en financement, la gestion des équipes et la transition numérique.
Cette édition a été marquée également par la tenue de deux masterclass. La première, répondant aux problématiques de financement rencontrées par les TPME et les solutions disponibles sur le marché, tandis que la seconde a fourni aux TPME des outils pour répondre aux enjeux de l’intelligence artificielle et en saisir les opportunités.
À travers cette première édition du Carrefour de la TPME, la CGEM a réaffirmé sa volonté de faire de la petite entreprise un levier central de création de richesse et d’emploi, en favorisant l’écoute, le dialogue, la montée en compétence et l’inspiration.
À noter que la TPME représente 95% des membres de la CGEM sur l’ensemble du territoire national. En plus du plaidoyer mené par la Confédération, cette dernière offre des services concrets et utiles pour cette catégorie d’entreprises, notamment les corridors établis avec les institutions publiques clés et des initiatives d’accompagnement et de montée en compétences des chefs d’entreprise.