La terre a tremblé de nouveau sous les pieds des habitants de la province d’Al-Haouz, ravivant les inquiétudes enterrées et les souvenirs douloureux laissés par le séisme mortel de 2023. En effet, aux premières heures de mercredi, un tremblement de terre de magnitude 4,6 est survenu près de la commune de Tlat N’Yacoub, dans la province d’Al-Haouz.
L’Institut national de géophysique considère cette secousse tellurique comme une réplique tardive du choc de septembre et s’inscrit dans le cadre d’une série de secousses survenues après le grand séisme. Le foyer était situé à seulement 10 km de profondeur dans la province d’Al-Haouz, enregistré près de la commune de Tlat N’Yacoub, au même emplacement du séisme de 2023.
Jugé à faible risque, le séisme n’a causé aucun dégât matériel ni humain. Les caméras de surveillance ayant enregistré l’événement montrent le sol trembler et les bâtiments osciller pendant quelques secondes. La secousse a été ressentie dans plusieurs villes avoisinantes, notamment à Marrakech. Des habitants ont indiqué avoir été réveillés par le tremblement de leur lit.
Selon l’Institut national de géophysique, les répliques survenues après le grand choc de magnitude 7 témoignent de l’activité de la région de l’Atlas cherchant à retrouver son équilibre. Ces secousses secondaires, toujours de magnitude inférieure à l’événement principal, font partie du processus de réajustement tectonique.
Une réplique tardive moins inquiétante
Cette secousse sismique intervient après l'enregistrement en mai dernier d’un tremblement d’une magnitude de 4,6 sur l’échelle de Richter dans la commune de Talat N’Yacoub, relevant de la province d’Al-Haouz.
Le directeur de l'Institut national de géophysique, Nasser Jebbour, avait expliqué que le séisme majeur de 2023 avait déstabilisé la chaîne du Haut Atlas, entraînant une série de répliques dont certaines peuvent être plus perceptibles. Le responsable a par ailleurs rassuré sur la tendance baissière des secousses dans la région, tout en soulignant la possibilité d’autres répliques, moins fortes que celle enregistrée mercredi.
Bien qu’il souligne l’absence de dégâts matériels ou humains à la suite de cet événement, l’Institut n’écarte pas la possibilité de constater des dommages dans la province, notamment des fissures sur des bâtiments anciens ou vulnérables. En revanche, les constructions récentes et conformes aux normes parasismiques ne présentent aucun risque structurel.
Selon Nasser Jebbour, ces secousses doivent être vues comme un rappel de l'importance de bien construire et d'intégrer le risque sismique dans les politiques d’aménagement et de développement.
L’Institut national de géophysique considère cette secousse tellurique comme une réplique tardive du choc de septembre et s’inscrit dans le cadre d’une série de secousses survenues après le grand séisme. Le foyer était situé à seulement 10 km de profondeur dans la province d’Al-Haouz, enregistré près de la commune de Tlat N’Yacoub, au même emplacement du séisme de 2023.
Jugé à faible risque, le séisme n’a causé aucun dégât matériel ni humain. Les caméras de surveillance ayant enregistré l’événement montrent le sol trembler et les bâtiments osciller pendant quelques secondes. La secousse a été ressentie dans plusieurs villes avoisinantes, notamment à Marrakech. Des habitants ont indiqué avoir été réveillés par le tremblement de leur lit.
Selon l’Institut national de géophysique, les répliques survenues après le grand choc de magnitude 7 témoignent de l’activité de la région de l’Atlas cherchant à retrouver son équilibre. Ces secousses secondaires, toujours de magnitude inférieure à l’événement principal, font partie du processus de réajustement tectonique.
Une réplique tardive moins inquiétante
Cette secousse sismique intervient après l'enregistrement en mai dernier d’un tremblement d’une magnitude de 4,6 sur l’échelle de Richter dans la commune de Talat N’Yacoub, relevant de la province d’Al-Haouz.
Le directeur de l'Institut national de géophysique, Nasser Jebbour, avait expliqué que le séisme majeur de 2023 avait déstabilisé la chaîne du Haut Atlas, entraînant une série de répliques dont certaines peuvent être plus perceptibles. Le responsable a par ailleurs rassuré sur la tendance baissière des secousses dans la région, tout en soulignant la possibilité d’autres répliques, moins fortes que celle enregistrée mercredi.
Bien qu’il souligne l’absence de dégâts matériels ou humains à la suite de cet événement, l’Institut n’écarte pas la possibilité de constater des dommages dans la province, notamment des fissures sur des bâtiments anciens ou vulnérables. En revanche, les constructions récentes et conformes aux normes parasismiques ne présentent aucun risque structurel.
Selon Nasser Jebbour, ces secousses doivent être vues comme un rappel de l'importance de bien construire et d'intégrer le risque sismique dans les politiques d’aménagement et de développement.
