Le gouvernement argentin serait sur le point d'annoncer des mesures, potentiellement dans quelques jours, pour permettre aux exportateurs de blé de retarder les expéditions convenues après qu'une sécheresse majeure ait frappé la récolte, suscitant des inquiétudes quant à l'approvisionnement intérieur.
Une source de la chambre d'exportation de céréales CEC du pays a déclaré, à Reuters, que des mesures seraient publiées "dans les prochains jours" pour permettre aux entreprises de reprogrammer les exportations de blé convenues sans encourir l'amende normale de 15% des autorités.
De même, une source gouvernementale ayant une connaissance directe de la question a déclaré, à Reuters, que des mesures pour permettre des retards d'expédition de blé sont à l'étude.
Ces commentaires sont l'indication la plus forte à ce jour que l'Argentine, l'un des principaux exportateurs de blé au monde, cherchera à retarder les exportations de céréales au milieu d'une sécheresse qui menace de provoquer la pire récolte depuis près d'une décennie.
"Si le gouvernement veut le faire, qu'il le fasse maintenant, car nous devons faire demi-tour et parler aux clients en Indonésie, au Maroc, en Algérie, en Égypte et leur dire que notre blé a brûlé et renégocier ces contrats", a déclaré à Reuters la même source de la CEC.
Une source de la chambre d'exportation de céréales CEC du pays a déclaré, à Reuters, que des mesures seraient publiées "dans les prochains jours" pour permettre aux entreprises de reprogrammer les exportations de blé convenues sans encourir l'amende normale de 15% des autorités.
De même, une source gouvernementale ayant une connaissance directe de la question a déclaré, à Reuters, que des mesures pour permettre des retards d'expédition de blé sont à l'étude.
Ces commentaires sont l'indication la plus forte à ce jour que l'Argentine, l'un des principaux exportateurs de blé au monde, cherchera à retarder les exportations de céréales au milieu d'une sécheresse qui menace de provoquer la pire récolte depuis près d'une décennie.
"Si le gouvernement veut le faire, qu'il le fasse maintenant, car nous devons faire demi-tour et parler aux clients en Indonésie, au Maroc, en Algérie, en Égypte et leur dire que notre blé a brûlé et renégocier ces contrats", a déclaré à Reuters la même source de la CEC.
