À Tanger, trois dossiers distincts mais perçus comme liés connaissent un tournant judiciaire majeur. Le tiktokeur Adam Benchekroun, sa mère et le créateur de contenus surnommé “Moulinex” font désormais face à la justice pour des accusations allant de l’exploitation sexuelle à la traite d’êtres humains, dans un contexte où les dérives numériques attirent une attention croissante.
À l’origine, un simple conflit de voisinage avait déclenché l’intervention des autorités chez Adam Benchekroun et sa mère. Mais l’enquête a rapidement révélé un ensemble d’éléments graves : contenus suggestifs en ligne, sollicitations d’internautes, vidéos à caractère sexuel et accusations de recrutement pour la prostitution. Adam devra répondre notamment d’atteinte à la pudeur, diffamation, incitation à commettre des délits et exploitation via les réseaux sociaux. Sa mère, poursuivie pour traite, diffusion de contenu pornographique et réception de fonds en contrepartie d’images de son fils, encourt de lourdes charges.
L’affaire se double d’un troisième dossier, celui de “Moulinex”, soupçonné par l’association Clés et Solutions d’avoir impliqué des mineurs dans des contenus pornographiques et des réseaux d’exploitation transnationaux. L’ONG, qui avait lancé la campagne “Zéro Tafaha”, alerte sur des pratiques qui dépassent largement le cadre du divertissement en ligne.
À l’origine, un simple conflit de voisinage avait déclenché l’intervention des autorités chez Adam Benchekroun et sa mère. Mais l’enquête a rapidement révélé un ensemble d’éléments graves : contenus suggestifs en ligne, sollicitations d’internautes, vidéos à caractère sexuel et accusations de recrutement pour la prostitution. Adam devra répondre notamment d’atteinte à la pudeur, diffamation, incitation à commettre des délits et exploitation via les réseaux sociaux. Sa mère, poursuivie pour traite, diffusion de contenu pornographique et réception de fonds en contrepartie d’images de son fils, encourt de lourdes charges.
L’affaire se double d’un troisième dossier, celui de “Moulinex”, soupçonné par l’association Clés et Solutions d’avoir impliqué des mineurs dans des contenus pornographiques et des réseaux d’exploitation transnationaux. L’ONG, qui avait lancé la campagne “Zéro Tafaha”, alerte sur des pratiques qui dépassent largement le cadre du divertissement en ligne.





















