Souvent, le cancer du sein est associé au choc de l’annonce et aux lourds traitements qu’il engendre. Mais le parcours de la patiente ne s’arrête pas là, car il faut aussi gérer les «effets collatéraux» du cancer du sein. Mais aussi surmonter l’après-cancer : la reconstruction physique et psychologique.
Pour aider les femmes à mieux supporter les effets secondaires des traitements, invalidants et douloureux, mais aussi pour retrouver une féminité souvent oubliée au fil des traitements, les séances de kiné peuvent être d’une grande aide.
La rééducation après la chirurgie d’un cancer du sein est une étape importante et indispensable puisqu’elle concerne 100% des femmes. Non seulement, elle est utile pour limiter les lymphoedèmes (gonflement du bras) et favoriser la mobilité du bras et de l’épaule. Mais en plus, la kinésithérapie est aussi une aide à la cicatrisation. Car qui dit cicatrice, dit rétraction de la peau, adhérences ou encore brides cicatricielles, lesquelles peuvent entrainer des douleurs, des gênes, voire des déformations du sein dans les tumorectomies
Lors de cette rééducation, on doit aborder le traitement du thorax, du bras et de l’épaule, puis descendre jusqu’au bassin de façon à libérer un maximum de zones. Si elle est bien réalisée, une à deux séances par semaine suffisent. Théoriquement, si la rééducation est efficace, les patientes doivent avoir progressé à chaque séance. Bien entendu la durée du traitement est en fonction de la nécessité de soins : pour certaines personnes trois séances suffisent, pour d’autres il en faudra 30.
Pour aider les femmes à mieux supporter les effets secondaires des traitements, invalidants et douloureux, mais aussi pour retrouver une féminité souvent oubliée au fil des traitements, les séances de kiné peuvent être d’une grande aide.
La rééducation après la chirurgie d’un cancer du sein est une étape importante et indispensable puisqu’elle concerne 100% des femmes. Non seulement, elle est utile pour limiter les lymphoedèmes (gonflement du bras) et favoriser la mobilité du bras et de l’épaule. Mais en plus, la kinésithérapie est aussi une aide à la cicatrisation. Car qui dit cicatrice, dit rétraction de la peau, adhérences ou encore brides cicatricielles, lesquelles peuvent entrainer des douleurs, des gênes, voire des déformations du sein dans les tumorectomies
Lors de cette rééducation, on doit aborder le traitement du thorax, du bras et de l’épaule, puis descendre jusqu’au bassin de façon à libérer un maximum de zones. Si elle est bien réalisée, une à deux séances par semaine suffisent. Théoriquement, si la rééducation est efficace, les patientes doivent avoir progressé à chaque séance. Bien entendu la durée du traitement est en fonction de la nécessité de soins : pour certaines personnes trois séances suffisent, pour d’autres il en faudra 30.
Zakaria CHIHAB,
Kinésithérapeute -Physiothérapeute