"J’ai rencontré, aujourd'hui, l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies pour le Sahara, Staffan de Mistura. J’ai réitéré la position claire des États-Unis, à savoir qu’une véritable autonomie sous souveraineté marocaine demeure la seule solution faisable pour conflit", indiqué le conseiller de Donald Trump sur son compte X, ajoutant que les discussions ont porté également sur le rôle "stabilisateur" de la MINURSO et les perspectives de la paix régionale.
Washington trace ainsi à voie à suivre aux Nations Unies. Staffan de Mistura avait d'ores et déjà pris officiellement acte de la position de l'administration Trump lors de sa rencontre avec la Sous-secrétaire d’État chargée des affaires politiques, Lisa Kenna, le 10 avril dernier.
Pour les Etats-Unis, l'affaire est close. Pas question d'une solution en dehors de la souveraineté marocaine. Une position claire et sans équivoque que Massad Boulos a pris soin de réitérer lors de sa dernière visite en Algérie.
Cette entrevue intervient à la veille de la prochaine réunion du Conseil de Sécurité dont les Etats membres s'apprêtent à voter une résolution jugée décisive dans la trajectoire du conflit. Le texte dont les Etats-Unis sont le porte-plume, est censé consacrer la prééminence du plan d'autonomie comme étant la seule base d'une solution négociée. L'initiative marocaine est désormais soutenue par la majeur partie de la communauté internationale.
Au Conseil de sécurité, la balance penche en faveur du Maroc. Onze pays sur 15, y compris trois membres permanents (Etats-Unis, France et le Royaume-Uni qui reconnaissent la souveraineté marocaine), sont favorables au plan d'autonomie.
Washington trace ainsi à voie à suivre aux Nations Unies. Staffan de Mistura avait d'ores et déjà pris officiellement acte de la position de l'administration Trump lors de sa rencontre avec la Sous-secrétaire d’État chargée des affaires politiques, Lisa Kenna, le 10 avril dernier.
Pour les Etats-Unis, l'affaire est close. Pas question d'une solution en dehors de la souveraineté marocaine. Une position claire et sans équivoque que Massad Boulos a pris soin de réitérer lors de sa dernière visite en Algérie.
Cette entrevue intervient à la veille de la prochaine réunion du Conseil de Sécurité dont les Etats membres s'apprêtent à voter une résolution jugée décisive dans la trajectoire du conflit. Le texte dont les Etats-Unis sont le porte-plume, est censé consacrer la prééminence du plan d'autonomie comme étant la seule base d'une solution négociée. L'initiative marocaine est désormais soutenue par la majeur partie de la communauté internationale.
Au Conseil de sécurité, la balance penche en faveur du Maroc. Onze pays sur 15, y compris trois membres permanents (Etats-Unis, France et le Royaume-Uni qui reconnaissent la souveraineté marocaine), sont favorables au plan d'autonomie.
