
Cet avenir est porté par les compétences marocaines dont ceux de issus de l’Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers (ENSAM) de Meknès réputée pour son excellence auprès des entreprises marocaines et étrangères et qui contribuent au renforcement de "la souveraineté de la créativité", a souligné M. Mezzour qui s’exprimait à l’ouverture d’une conférence sur "Souveraineté industrielle: pilier d’une croissance durable et d’un rayonnement régional », initiée par l’Association Marocaine des Ingénieurs Arts et Métiers (AMIAM).
"La demande sur ces compétences marocaines est très grande et le gouvernement mise sur elles pour nous accompagner dans cette nouvelle ère sous le signe de la Souveraineté", a-t-il dit, ajoutant que cette nouvelle génération dispose des compétences, des outils et surtout de la volonté de développer son pays.
Le ministre a rendu hommage aux cadres et à l’administration qui déploient un effort colossal dans la formation de ces compétences, qui constituent l’avenir du Royaume. M. Mezzour a par ailleurs détaillé la vision stratégique du Maroc, impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour transformer l’économie et l’industrie nationales, mettant l’accent sur les grands chantiers mis en place pour le renforcement de l’attractivité du Royaume et son ouverture notamment les accords de libre-échange qui ont permis aujourd’hui l’accès à des marchés de plus de 2,6 milliards de consommateurs.
Le ministre est revenu sur les grands paris relevés par le Maroc sur les plans de la formation des cadres, de l’énergie renouvelable et de la création d’une infrastructure moderne et compétitive, se disant "fier" de voir des jeunes déterminés à porter l’ambition du Maroc de demain.
"Les crises récentes nous rappellent qu’un pays ne peut être pleinement souverain que s’il sait produire, innover et transformer, localement et durablement. La souveraineté industrielle n’est pas un repli sur soi", a indiqué de son côté, le président de l’université Moulay Ismail (UMI) de Meknès, Ahmed Mouchtachi, ajoutant qu’il s’agit plutôt "de la capacité à agir avec nos ressources, nos talents, pour répondre à nos besoins et dialoguer avec le monde en confiance".
Mettant l’accent sur le rôle clé que jouent l’enseignement supérieur et la recherche dans cette construction collective, M. Mouchtachi a estimé que "l’université est devenue un acteur du territoire, un catalyseur de compétences, un lieu d’innovation, et un véritable levier de souveraineté".
"Nous formons des ingénieurs de très haut niveau, des techniciens supérieurs hautement qualifiés, des chercheurs et des entrepreneurs prêts à relever les défis d’une industrie moderne, verte et inclusive", a-t-il fait savoir.
Et de noter que les ingénieurs Arts et Métiers de l’université de Meknès incarnent l’excellence industrielle et leur capacité à produire et piloter les transformations industrielles fait d’eux des acteurs clés d’une souveraineté industrielle durable.
Pour sa part, le directeur de l’ENSAM de Meknès, Bouayad Aboubakr a souligné que cette rencontre initiée en collaboration avec l’association des lauréats de l’ENSAM est un espace d’échange entre les étudiants et ces anciens lauréats aujourd’hui responsables de projets d’envergures, chefs d’entreprises, décideurs et experts industriels, ajoutant que l’ENSAM de Meknès est une école enracinée dans la réalité de ce pays à formation exigeante au service des compétence de demain.
Cette conférence est un rendez-vous annuel de rencontre entre les anciens et les nouveaux étudiants de l’ENSAM de Meknès et une occasion de sceller de nouveaux partenariats entre cet école et des opérateurs économiques avec pour objectif de promouvoir l’insertion professionnelle des nouveaux lauréats.
"La demande sur ces compétences marocaines est très grande et le gouvernement mise sur elles pour nous accompagner dans cette nouvelle ère sous le signe de la Souveraineté", a-t-il dit, ajoutant que cette nouvelle génération dispose des compétences, des outils et surtout de la volonté de développer son pays.
Le ministre a rendu hommage aux cadres et à l’administration qui déploient un effort colossal dans la formation de ces compétences, qui constituent l’avenir du Royaume. M. Mezzour a par ailleurs détaillé la vision stratégique du Maroc, impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour transformer l’économie et l’industrie nationales, mettant l’accent sur les grands chantiers mis en place pour le renforcement de l’attractivité du Royaume et son ouverture notamment les accords de libre-échange qui ont permis aujourd’hui l’accès à des marchés de plus de 2,6 milliards de consommateurs.
Le ministre est revenu sur les grands paris relevés par le Maroc sur les plans de la formation des cadres, de l’énergie renouvelable et de la création d’une infrastructure moderne et compétitive, se disant "fier" de voir des jeunes déterminés à porter l’ambition du Maroc de demain.
"Les crises récentes nous rappellent qu’un pays ne peut être pleinement souverain que s’il sait produire, innover et transformer, localement et durablement. La souveraineté industrielle n’est pas un repli sur soi", a indiqué de son côté, le président de l’université Moulay Ismail (UMI) de Meknès, Ahmed Mouchtachi, ajoutant qu’il s’agit plutôt "de la capacité à agir avec nos ressources, nos talents, pour répondre à nos besoins et dialoguer avec le monde en confiance".
Mettant l’accent sur le rôle clé que jouent l’enseignement supérieur et la recherche dans cette construction collective, M. Mouchtachi a estimé que "l’université est devenue un acteur du territoire, un catalyseur de compétences, un lieu d’innovation, et un véritable levier de souveraineté".
"Nous formons des ingénieurs de très haut niveau, des techniciens supérieurs hautement qualifiés, des chercheurs et des entrepreneurs prêts à relever les défis d’une industrie moderne, verte et inclusive", a-t-il fait savoir.
Et de noter que les ingénieurs Arts et Métiers de l’université de Meknès incarnent l’excellence industrielle et leur capacité à produire et piloter les transformations industrielles fait d’eux des acteurs clés d’une souveraineté industrielle durable.
Pour sa part, le directeur de l’ENSAM de Meknès, Bouayad Aboubakr a souligné que cette rencontre initiée en collaboration avec l’association des lauréats de l’ENSAM est un espace d’échange entre les étudiants et ces anciens lauréats aujourd’hui responsables de projets d’envergures, chefs d’entreprises, décideurs et experts industriels, ajoutant que l’ENSAM de Meknès est une école enracinée dans la réalité de ce pays à formation exigeante au service des compétence de demain.
Cette conférence est un rendez-vous annuel de rencontre entre les anciens et les nouveaux étudiants de l’ENSAM de Meknès et une occasion de sceller de nouveaux partenariats entre cet école et des opérateurs économiques avec pour objectif de promouvoir l’insertion professionnelle des nouveaux lauréats.