Le Maroc intègre pleinement dans ses stratégies de développement la dimension environnementale, notamment en matière d’exploitation des ressources halieutiques et de préservation du milieu marin. De telles préoccupations ciblant le milieu marin se déclinent notamment dans l’initiative de Ceinture bleue, telle qu’exposée lors d’une conférence spécialisée à Eïlat.
Cette conférence internationale sur les technologies de production alimentaire de la mer et du désert, est organisée par le ministère israélien de l’Agriculture et du Développement rural.
Le directeur général de l’Institut national de recherche halieutique (INRH), Abdelmalek Faraj, y a présenté l’Initiative de la Ceinture bleue lancée par le Maroc pour répondre aux défis du changement climatique, de la conservation de l’océan et du développement durable de la pêche et de l’aquaculture, et ce, afin de garantir les conditions de la sécurité alimentaire dans le futur.
Il a souligné que cette initiative vise à compléter les stratégies marines nationales et régionales en encourageant la transformation des emplois du secteur de la pêche maritime en activités durables, respectueuses de l’environnement marin, tout en faisant des contraintes environnementales découlant des effets du changement climatique, de nouvelles opportunités économiques permettant de générer une plus-value économique. Il a fait remarquer que la côte océanique marocaine, qui offre 58% des opportunités de production, était un espace non durable, et que l’Initiative de la Ceinture bleue est articulée sur l’utilisation des moyens durables tenant compte des spécificités naturelles de l’océan, pour répondre aux problèmes de changement climatique et de la sécurité alimentaire.
Faraj a relevé que l’objectif de l’Initiative de la Ceinture bleue est d’encourager les solutions durables et de renforcer la coopération internationale, ajoutant que le Maroc, qui a accumulé des expériences pionnières dans plusieurs domaines telles que la pêche intelligente et la pêche durable, ambitionne de faire du privé un acteur clé dans le secteur.
Il a précisé que le Maroc, qui possède des côtes s’étendant sur plus de 3.500 km, est un pays leader dans le secteur de la pêche maritime avec une production d’environ 1,5 million de tonnes, notant que des efforts sont également déployés pour développer le secteur des fermes marines. Il a fait référence, à cet égard, au rôle que devra jouer la structure dédiée à cette mission, à savoir l’Agence Nationale pour le Développement de l’Aquaculture (ANDA).
Il a relevé, d’autre part, qu’en dix ans, le Maroc a investi plus de 150 millions d’euros pour développer les infrastructures de la recherche scientifique sur les poissons, précisant que deux centres de recherche et un centre d’études océaniques ont été construits.
Les efforts du Maroc dans ce domaine sont également illustrés par la réforme de la législation pour accompagner le développement de l’agriculture marine, l’élaboration de vastes plans de gestion et le renforcement de la participation du secteur privé, a-t-il indiqué.
Cette conférence internationale sur les technologies de production alimentaire de la mer et du désert, est organisée par le ministère israélien de l’Agriculture et du Développement rural.
Le directeur général de l’Institut national de recherche halieutique (INRH), Abdelmalek Faraj, y a présenté l’Initiative de la Ceinture bleue lancée par le Maroc pour répondre aux défis du changement climatique, de la conservation de l’océan et du développement durable de la pêche et de l’aquaculture, et ce, afin de garantir les conditions de la sécurité alimentaire dans le futur.
Il a souligné que cette initiative vise à compléter les stratégies marines nationales et régionales en encourageant la transformation des emplois du secteur de la pêche maritime en activités durables, respectueuses de l’environnement marin, tout en faisant des contraintes environnementales découlant des effets du changement climatique, de nouvelles opportunités économiques permettant de générer une plus-value économique. Il a fait remarquer que la côte océanique marocaine, qui offre 58% des opportunités de production, était un espace non durable, et que l’Initiative de la Ceinture bleue est articulée sur l’utilisation des moyens durables tenant compte des spécificités naturelles de l’océan, pour répondre aux problèmes de changement climatique et de la sécurité alimentaire.
Faraj a relevé que l’objectif de l’Initiative de la Ceinture bleue est d’encourager les solutions durables et de renforcer la coopération internationale, ajoutant que le Maroc, qui a accumulé des expériences pionnières dans plusieurs domaines telles que la pêche intelligente et la pêche durable, ambitionne de faire du privé un acteur clé dans le secteur.
Il a précisé que le Maroc, qui possède des côtes s’étendant sur plus de 3.500 km, est un pays leader dans le secteur de la pêche maritime avec une production d’environ 1,5 million de tonnes, notant que des efforts sont également déployés pour développer le secteur des fermes marines. Il a fait référence, à cet égard, au rôle que devra jouer la structure dédiée à cette mission, à savoir l’Agence Nationale pour le Développement de l’Aquaculture (ANDA).
Il a relevé, d’autre part, qu’en dix ans, le Maroc a investi plus de 150 millions d’euros pour développer les infrastructures de la recherche scientifique sur les poissons, précisant que deux centres de recherche et un centre d’études océaniques ont été construits.
Les efforts du Maroc dans ce domaine sont également illustrés par la réforme de la législation pour accompagner le développement de l’agriculture marine, l’élaboration de vastes plans de gestion et le renforcement de la participation du secteur privé, a-t-il indiqué.
