
Cette réunion, rappelle la même source, rassemble l’ensemble des présidents des groupes parlementaires qui vont discuter du contenu de la résolution en question et ses conséquences politiques.
Votée, ce jeudi, à très large majorité, la résolution a condamné le Maroc en critiquant « la détérioration de la liberté de la presse » et « les violations de droits de l’homme ». Les eurodéputés se sont déclarés « préoccupés par les allégations selon lesquelles les autorités marocaines auraient tenté de corrompre des députés au Parlement européen ».
La résolution a appelé l’UE à peser « de tout son poids pour obtenir des améliorations concrètes de la situation des droits de l’homme au Maroc ».
Au Maroc, cette résolution sans effet juridique, a suscité la consternation. Elle est perçue comme une attaque médiatique acharnée sur la base d’allégations infondées dans le cadre de l’affaire dite "QatarGate".