
Pour comprendre la portée de cette conférence, il faut souligner que le Maroc et le Congo entretiennent des relations de longue date, régies par un grand nombre de conventions bilatérales. Sur le plan économique, le Congo capte 5,1% des exportations marocaines et constitue son 5ème fournisseur en Afrique subsaharienne, incarnant ainsi la qualité d’un partenariat sud-sud exemplaire.
Les autorités congolaises misent sur plusieurs secteurs dont, entre autres, l’agriculture, la pêche, le tourisme, le transport (fluvial, maritime, aérien et terrestre) sans oublier l’immense ressource (mine, pétrole et autres bauxites) et végétale du Congo. Pour ce qui est de l’agriculture et le tourisme, soutiennent les responsables congolais, ce sont des secteurs à forte valeur ajoutée pour l’économie marocaine quand on sait que l’agriculture représente à elle seule 14% du PIB marocain et de plusieurs millions d’euros d’exportations.
A cet égard, les organisateurs indiquent que la rencontre de Casablanca vise à stimuler l’investissement des partenaires étrangers et des entreprises privées au Congo qui souhaite profiter de la dynamique de développement du Maroc. En effet, le Royaume, de par sa forte croissance économique, ses ambitions pour le continent africain, et la présence de ses nombreuses sociétés à l’international, représente pour le Congo un réel potentiel économique via ses importantes structures visant à favoriser l’investissement.
Réel potentiel économique
Enfin, rappelons que la République du Congo (Congo-Brazzaville), située en Afrique centrale, s’étend sur 342 000 km2 et sa population de 5,61 millions d’habitants est majoritairement jeune avec 56% de moins de 20 ans.
Néanmoins, selon la Banque mondiale, la pandémie de la Covid-19 et les chocs pétroliers associés exercent une pression sans précédent sur l’économie et le PIB réel s’est contracté de 7,9% en 2020 et devrait se contracter de 0,1% en 2021.
L’inflation, quant à elle et toujours d’après le rapport de la BM, est restée contenue à 1,4% en 2020. Le déficit budgétaire global en 2020 est estimé à 1,3% du PIB, contre un excédent de 3,5% en 2019. Avec un endettement de 103% du PIB en 2020 (82,3% en 2019) et bien que le Congo bénéficie de l’Initiative de suspension du service de la dette (DSSI), la restructuration de la dette commerciale extérieure sera essentielle pour assurer la viabilité de la dette.
Les autorités congolaises misent sur plusieurs secteurs dont, entre autres, l’agriculture, la pêche, le tourisme, le transport (fluvial, maritime, aérien et terrestre) sans oublier l’immense ressource (mine, pétrole et autres bauxites) et végétale du Congo. Pour ce qui est de l’agriculture et le tourisme, soutiennent les responsables congolais, ce sont des secteurs à forte valeur ajoutée pour l’économie marocaine quand on sait que l’agriculture représente à elle seule 14% du PIB marocain et de plusieurs millions d’euros d’exportations.
A cet égard, les organisateurs indiquent que la rencontre de Casablanca vise à stimuler l’investissement des partenaires étrangers et des entreprises privées au Congo qui souhaite profiter de la dynamique de développement du Maroc. En effet, le Royaume, de par sa forte croissance économique, ses ambitions pour le continent africain, et la présence de ses nombreuses sociétés à l’international, représente pour le Congo un réel potentiel économique via ses importantes structures visant à favoriser l’investissement.
Réel potentiel économique
Enfin, rappelons que la République du Congo (Congo-Brazzaville), située en Afrique centrale, s’étend sur 342 000 km2 et sa population de 5,61 millions d’habitants est majoritairement jeune avec 56% de moins de 20 ans.
Néanmoins, selon la Banque mondiale, la pandémie de la Covid-19 et les chocs pétroliers associés exercent une pression sans précédent sur l’économie et le PIB réel s’est contracté de 7,9% en 2020 et devrait se contracter de 0,1% en 2021.
L’inflation, quant à elle et toujours d’après le rapport de la BM, est restée contenue à 1,4% en 2020. Le déficit budgétaire global en 2020 est estimé à 1,3% du PIB, contre un excédent de 3,5% en 2019. Avec un endettement de 103% du PIB en 2020 (82,3% en 2019) et bien que le Congo bénéficie de l’Initiative de suspension du service de la dette (DSSI), la restructuration de la dette commerciale extérieure sera essentielle pour assurer la viabilité de la dette.
W. S.