Lors de son allocution à la Chambre des Représentants, le ministre a souligné que cette réforme est indispensable. « On ne résoudra pas les problèmes du chômage sans résoudre le problème du Code du Travail », a-t-il précisé.
Il ne s'agit pas d'une réforme exhaustive qui touchera les 600 articles de l’actuel Code, mais ciblera plutôt quelques points prioritaires. Le premier concerne les injustices que subissent certaines catégories professionnelles dont les agents de sécurité et les employés des jardinage qui travaillent plus de 12 heures.
En outre, la réforme portera sur la réglementation des nouveaux métiers qui ne disposent pas de cadre légal comme les livreurs. Il est aussi question d'organiser les nouvelles tendances professionnelles comme le travail à temps partiel et le télétravail.
Le ministre a également abordé le travail des femmes et des jeunes que le code actuel n’encadre pas suffisamment.
L’enjeu principal de la réforme du Code du Travail est de rester en phase avec les développements socioéconomiques de notre société. « Il ne faut pas que la société soit d’un côté et l’Etat d’un autre », indique le ministre qui a insisté sur la mise en place d’un cadre légal qui tient compte ses nouvelles modalités d’emploi et permet l’épanouissement des nouveaux métiers. « La société doit se libérer des chaînes de la vieille économie », a-t-il plaidé.
Il ne s'agit pas d'une réforme exhaustive qui touchera les 600 articles de l’actuel Code, mais ciblera plutôt quelques points prioritaires. Le premier concerne les injustices que subissent certaines catégories professionnelles dont les agents de sécurité et les employés des jardinage qui travaillent plus de 12 heures.
En outre, la réforme portera sur la réglementation des nouveaux métiers qui ne disposent pas de cadre légal comme les livreurs. Il est aussi question d'organiser les nouvelles tendances professionnelles comme le travail à temps partiel et le télétravail.
Le ministre a également abordé le travail des femmes et des jeunes que le code actuel n’encadre pas suffisamment.
L’enjeu principal de la réforme du Code du Travail est de rester en phase avec les développements socioéconomiques de notre société. « Il ne faut pas que la société soit d’un côté et l’Etat d’un autre », indique le ministre qui a insisté sur la mise en place d’un cadre légal qui tient compte ses nouvelles modalités d’emploi et permet l’épanouissement des nouveaux métiers. « La société doit se libérer des chaînes de la vieille économie », a-t-il plaidé.