Dans cette enquête, 72% des Marocains ont exprimé leur mécontentement face à la situation économique contre 50% l’année précédente.
S’agissant de la confiance dans le secteur de l'éducation, 76% des répondants ont exprimé leur satisfaction de la qualité de l'enseignement public, contre 80% l’année précédente. En parallèle, la confiance dans l'enseignement privé recule de 76% l'année dernière à 55% cette année, selon le même document.
Pour ce qui est des services du secteur de la santé, la confiance reste très faible par rapport au degré de satisfaction à l’égard des services du secteur de l’éducation, puisque 49% ont exprimé leur satisfaction envers le secteur de la santé publique.
Quant au degré de satisfaction à l’égard des services du secteur privé de la santé, il est d’environ 72% (33% sont très satisfaits des prestations et 49% sont satisfaits).
Les résultats de l’étude montrent également que le niveau de confiance atteint 86% cette année (contre 92% un an auparavant) pour la police marocaine et 89% (contre 95%) pour les forces armées. D’autre part, la confiance est également élevée dans le système judiciaire, atteignant 72%.
Sur le plan politique, les résultats de l’étude font état de la diminution du niveau de confiance des Marocains vis-à-vis de leurs institutions.
Pour le gouvernement, 74% des Marocains ont déclaré qu’ils ne lui font pas confiance (69% l’année dernière). De plus, 70% disent ne pas faire confiance au parlement. Même constat pour le niveau de confiance vis-à-vis de cette institution (42% contre 50%) et des partis politiques (33% contre 52%).
Gabegie et corruption : près de la moitié des Marocains satisfaits des efforts du gouvernement
Ils sont 47% des questionnés à avoir exprimé leur satisfaction à l’égard des efforts du gouvernement pour lutter contre la corruption.
En termes de confiance sociale, les Marocains semblent ne faire confiance qu'à leur famille. Le rapport a mis en évidence que les Marocains font avant tout confiance à leurs familles. Ils sont ainsi 98% à croire entièrement dans l’entité familiale proprement dite, et 78% dans la famille élargie.
De plus, 66% des répondants disent ne pas faire confiance aux personnes qu'ils rencontrent pour la première fois, 45% d'entre eux ne font pas confiance aux personnes d'autres religions, 35% ne font pas confiance aux personnes d'autres nationalités (contre 45% en 2022), 37% ne font pas confiance à leurs voisins et 25 % ne font pas confiance à leurs amis.
Il en ressort également que 58% des personnes interrogées estiment que les Marocains se font confiance (contre 65% en 2022), alors que 15% des interrogés ont déclaré qu’ils font assez confiance aux autres.
Mais lorsqu’il s’agit des liens d'amitié avec des étrangers (personnes d'autres religions ou orientations sexuelles et réfugiés), 69% des répondants ne craignent pas d'avoir des amis d'une religion différente, 77% acceptent d'avoir des amis réfugiés, tandis que 18% acceptent des amis athées et 7% acceptent d'avoir des amis homosexuels.
Quant à la fierté de l’identité marocaine, 93% des personnes sondées se disent très fières d’être marocaines.
S’agissant de la confiance dans le secteur de l'éducation, 76% des répondants ont exprimé leur satisfaction de la qualité de l'enseignement public, contre 80% l’année précédente. En parallèle, la confiance dans l'enseignement privé recule de 76% l'année dernière à 55% cette année, selon le même document.
Pour ce qui est des services du secteur de la santé, la confiance reste très faible par rapport au degré de satisfaction à l’égard des services du secteur de l’éducation, puisque 49% ont exprimé leur satisfaction envers le secteur de la santé publique.
Quant au degré de satisfaction à l’égard des services du secteur privé de la santé, il est d’environ 72% (33% sont très satisfaits des prestations et 49% sont satisfaits).
Les résultats de l’étude montrent également que le niveau de confiance atteint 86% cette année (contre 92% un an auparavant) pour la police marocaine et 89% (contre 95%) pour les forces armées. D’autre part, la confiance est également élevée dans le système judiciaire, atteignant 72%.
Sur le plan politique, les résultats de l’étude font état de la diminution du niveau de confiance des Marocains vis-à-vis de leurs institutions.
Pour le gouvernement, 74% des Marocains ont déclaré qu’ils ne lui font pas confiance (69% l’année dernière). De plus, 70% disent ne pas faire confiance au parlement. Même constat pour le niveau de confiance vis-à-vis de cette institution (42% contre 50%) et des partis politiques (33% contre 52%).
Gabegie et corruption : près de la moitié des Marocains satisfaits des efforts du gouvernement
Ils sont 47% des questionnés à avoir exprimé leur satisfaction à l’égard des efforts du gouvernement pour lutter contre la corruption.
En termes de confiance sociale, les Marocains semblent ne faire confiance qu'à leur famille. Le rapport a mis en évidence que les Marocains font avant tout confiance à leurs familles. Ils sont ainsi 98% à croire entièrement dans l’entité familiale proprement dite, et 78% dans la famille élargie.
De plus, 66% des répondants disent ne pas faire confiance aux personnes qu'ils rencontrent pour la première fois, 45% d'entre eux ne font pas confiance aux personnes d'autres religions, 35% ne font pas confiance aux personnes d'autres nationalités (contre 45% en 2022), 37% ne font pas confiance à leurs voisins et 25 % ne font pas confiance à leurs amis.
Il en ressort également que 58% des personnes interrogées estiment que les Marocains se font confiance (contre 65% en 2022), alors que 15% des interrogés ont déclaré qu’ils font assez confiance aux autres.
Mais lorsqu’il s’agit des liens d'amitié avec des étrangers (personnes d'autres religions ou orientations sexuelles et réfugiés), 69% des répondants ne craignent pas d'avoir des amis d'une religion différente, 77% acceptent d'avoir des amis réfugiés, tandis que 18% acceptent des amis athées et 7% acceptent d'avoir des amis homosexuels.
Quant à la fierté de l’identité marocaine, 93% des personnes sondées se disent très fières d’être marocaines.