C’est la fin du calvaire des quatre camionneurs marocains kidnappés, le 18 janvier dernier, à la frontière entre le Burkina Faso et le Niger. Il s’agit d’Abdelaziz Essakri, Yassid Ben Akka, Rachid Bennadi et son collaborateur Mohamed dont L’Opinion a relaté en détail les circonstances de disparition dans un article précédent.
Ces derniers ont été libérés, le 3 août, au Mali où il ont été reçus par le président de transition, Assimi Goïta, lors d’une cérémonie officielle.
Les otages ont été libérés sains et saufs. Selon les images diffusées par la télévision malienne, ils paraissent en bonne santé.
Selon le communiqué de la présidence malienne, la libération des chauffeurs marocains est le fruit d’une coordination étroite entre l’Agence nationale de la sécurité d’Etat du Mali et la Direction générale d’Etudes et de Documentation du Maroc qui ont mené ensemble les investigations pendant plus de six mois.
Les chauffeurs marocains ont disparu, le 18 janvier, quand ils ont emprunté sans escorte un itinéraire dangereux dans la zone frontalière de Dori-Téra contre l’avis des autorités locales. Une zone contrôlée par des cellules terroristes et des groupes armés qui seraient responsables du kidnapping des quatre otages.
Après leur disparition, l’Armée du Niger a trouvé, le 31 janvier, lors d’une patrouille leurs camions abandonnés à l’ouest du pays sur la route entre Dori (nord-est du Burkina) et Téra.
Contacté par L’Opinion, un des proches de Rachid Bennadi, qui a reconnu la silhouette émaciée de son frère dans les images diffusées à la télévision, a fait part de son soulagement rappelant que sa famille, comme celles des autres otages, a vécu un cauchemar depuis l’annonce de leur disparition d'autant plus que les proches éplorés avaient du mal à avoir des nouvelles sur les investigations.
Ces derniers ont été libérés, le 3 août, au Mali où il ont été reçus par le président de transition, Assimi Goïta, lors d’une cérémonie officielle.
Les otages ont été libérés sains et saufs. Selon les images diffusées par la télévision malienne, ils paraissent en bonne santé.
Selon le communiqué de la présidence malienne, la libération des chauffeurs marocains est le fruit d’une coordination étroite entre l’Agence nationale de la sécurité d’Etat du Mali et la Direction générale d’Etudes et de Documentation du Maroc qui ont mené ensemble les investigations pendant plus de six mois.
Les chauffeurs marocains ont disparu, le 18 janvier, quand ils ont emprunté sans escorte un itinéraire dangereux dans la zone frontalière de Dori-Téra contre l’avis des autorités locales. Une zone contrôlée par des cellules terroristes et des groupes armés qui seraient responsables du kidnapping des quatre otages.
Après leur disparition, l’Armée du Niger a trouvé, le 31 janvier, lors d’une patrouille leurs camions abandonnés à l’ouest du pays sur la route entre Dori (nord-est du Burkina) et Téra.
Contacté par L’Opinion, un des proches de Rachid Bennadi, qui a reconnu la silhouette émaciée de son frère dans les images diffusées à la télévision, a fait part de son soulagement rappelant que sa famille, comme celles des autres otages, a vécu un cauchemar depuis l’annonce de leur disparition d'autant plus que les proches éplorés avaient du mal à avoir des nouvelles sur les investigations.