
4h du matin, de Tanger aux confins du Sahara, en passant par Rabat, Marrakech et la très footballistique Casablanca, les klaxons résonnent au rythme des chants et de l’hymne national. Pour la première fois de son Histoire, le Maroc voit l’une de ses équipes nationales remporter la Coupe du Monde, déclenchant l’euphorie d’un peuple, et surtout sa jeunesse, qui, à peine deux semaines plus tôt, occupait ces mêmes rues pour réclamer une meilleure gouvernance.
Des scènes de liesse qui témoignent non seulement du profond attachement des Marocains à leur patrie, mais aussi de leur soif de voir le Royaume briller sur la scène internationale. Ces scènes de liesse laissent également entrevoir l’élan populaire qui accompagnera, à coup sûr, les Lions de l’Atlas lors de la prochaine CAN, organisée sur nos terres.
La prouesse coïncide par ailleurs avec la tenue, quelques heures avant la finale, d’un Conseil des ministres au cours duquel d’importantes mesures ont été annoncées, répondant favorablement aux revendications portées par la GenZ. La plus saillante reste sans doute le Projet de Loi de Finances 2026, véritable locomotive du Maroc Émergent, qui ambitionne d’accélérer la modernisation économique tout en consolidant une justice sociale et territoriale tangible.
Construit sur quatre rails d’action, le prochain budget de l’Etat vient répondre aux aspirations de la jeunesse en portant les budgets de l’Éducation et de la Santé à 140 milliards de dirhams, tout en créant plus de 27.000 postes budgétaires dédiés à ces deux secteurs essentiels. L’idée est également de réinventer les territoires à travers des programmes intégrés destinés aux régions longtemps laissées en marge, via la stimulation de l’investissement, tout en misant sur les PME, les jeunes et les femmes comme moteurs du développement local.
Et pour consolider le sentiment national qui s’exprime à chaque moment de ferveur collective, le projet inscrit pleinement la construction de l’État social voulu par le Souverain, prévoyant des aides directes, la généralisation de la protection sociale et de la retraite, ainsi qu’un soutien renforcé aux familles et aux plus vulnérables.
Ce ne sont là que quelques exemples d’un budget qui ambitionne de faire du Maroc non seulement un pays émergent, mais surtout un pays juste et équitable en matière de développement, où chaque dirham investi fait germer une promesse de dignité, de progrès et d’avenir partagé. Un Maroc qui, lorsqu’il le veut, le peut, comme le prouvent les exploits de nos sélections nationales, et que l’on espère voir se prolonger, en décembre prochain, sous les mêmes couleurs de la victoire.
Des scènes de liesse qui témoignent non seulement du profond attachement des Marocains à leur patrie, mais aussi de leur soif de voir le Royaume briller sur la scène internationale. Ces scènes de liesse laissent également entrevoir l’élan populaire qui accompagnera, à coup sûr, les Lions de l’Atlas lors de la prochaine CAN, organisée sur nos terres.
La prouesse coïncide par ailleurs avec la tenue, quelques heures avant la finale, d’un Conseil des ministres au cours duquel d’importantes mesures ont été annoncées, répondant favorablement aux revendications portées par la GenZ. La plus saillante reste sans doute le Projet de Loi de Finances 2026, véritable locomotive du Maroc Émergent, qui ambitionne d’accélérer la modernisation économique tout en consolidant une justice sociale et territoriale tangible.
Construit sur quatre rails d’action, le prochain budget de l’Etat vient répondre aux aspirations de la jeunesse en portant les budgets de l’Éducation et de la Santé à 140 milliards de dirhams, tout en créant plus de 27.000 postes budgétaires dédiés à ces deux secteurs essentiels. L’idée est également de réinventer les territoires à travers des programmes intégrés destinés aux régions longtemps laissées en marge, via la stimulation de l’investissement, tout en misant sur les PME, les jeunes et les femmes comme moteurs du développement local.
Et pour consolider le sentiment national qui s’exprime à chaque moment de ferveur collective, le projet inscrit pleinement la construction de l’État social voulu par le Souverain, prévoyant des aides directes, la généralisation de la protection sociale et de la retraite, ainsi qu’un soutien renforcé aux familles et aux plus vulnérables.
Ce ne sont là que quelques exemples d’un budget qui ambitionne de faire du Maroc non seulement un pays émergent, mais surtout un pays juste et équitable en matière de développement, où chaque dirham investi fait germer une promesse de dignité, de progrès et d’avenir partagé. Un Maroc qui, lorsqu’il le veut, le peut, comme le prouvent les exploits de nos sélections nationales, et que l’on espère voir se prolonger, en décembre prochain, sous les mêmes couleurs de la victoire.