A l’occasion de la tenue de la quatorzième et dernière session de l’actuelle législature de l'Assemblée générale du Conseil, samedi 29 juin 2024, Amina Bouayach dit avoir enregistré une augmentation des demandes d'intervention et des plaintes qui lui sont adressées, notamment celles liées à la violence contre les femmes et les filles ainsi qu’aux droits des immigrés. Cela traduit le besoin de renforcer les capacités d’écoute et de développer les méthodes d'enquête menées par le Conseil, tant au niveau central que régional.
Par la même occasion, la présidente s’est félicitée de l’installation de trois mécanismes nationaux, à savoir : celui du recours pour les enfants victimes de violation de leurs droits, le mécanisme national de prévention de la torture et celui de la protection des droits de personnes en situation de handicap.
Le CNDH a continué son partenariat avec les différentes forces de l'ordre, notamment la Direction Générale de la Sûreté Nationale, la Gendarmerie Royale et la Délégation Générale à l'Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion, à travers sa contribution au renforcement des capacités des cadres de ces institutions dans le domaine du respect des Droits de l’Homme, y compris la prévention de la torture.
Par ailleurs, Bouayach a souligné qu'au cours des cinq dernières années, le Conseil a publié plus de 70 rapports, dont cinq annuels couvrant la période 2019 à 2023.
En outre, la présidente du CNDH a noté la contribution de son institution à l’ouverture de débats publics sur des questions émergentes telles que le droit à la liberté d’opinion et d’expression dans les espaces numériques, entre autres.
Bouayach a également exprimé sa satisfaction de travailler avec les institutions mondiales pour faire progresser les efforts en faveur des Droits de l'Homme.
Par la même occasion, la présidente s’est félicitée de l’installation de trois mécanismes nationaux, à savoir : celui du recours pour les enfants victimes de violation de leurs droits, le mécanisme national de prévention de la torture et celui de la protection des droits de personnes en situation de handicap.
Le CNDH a continué son partenariat avec les différentes forces de l'ordre, notamment la Direction Générale de la Sûreté Nationale, la Gendarmerie Royale et la Délégation Générale à l'Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion, à travers sa contribution au renforcement des capacités des cadres de ces institutions dans le domaine du respect des Droits de l’Homme, y compris la prévention de la torture.
Par ailleurs, Bouayach a souligné qu'au cours des cinq dernières années, le Conseil a publié plus de 70 rapports, dont cinq annuels couvrant la période 2019 à 2023.
En outre, la présidente du CNDH a noté la contribution de son institution à l’ouverture de débats publics sur des questions émergentes telles que le droit à la liberté d’opinion et d’expression dans les espaces numériques, entre autres.
Bouayach a également exprimé sa satisfaction de travailler avec les institutions mondiales pour faire progresser les efforts en faveur des Droits de l'Homme.